Reuters 20 minutes.chRached Ghannouchi, chef du parti islamiste Ennahda, a assuré que son parti n'avait pas appelé aux manifestations, dont celle de vendredi à Tunis, où la police a provoqué la colère de jeunes musulmans en tirant des grenades lacrymogènes dans une mosquée.
Tensions croissantes entre les forces laïques et islamistes
Le Premier ministre, Beji Caid Sebsi, a accusé lundi des partis religieux extrémistes d'être à l'origine des violences, sans toutefois citer aucun parti nommément.
Rached Ghannouchi lui a répondu en dénonçant une opération destinée selon lui à jeter le discrédit sur le mouvement islamiste tunisien.
«Nous avons le sentiment qu'il y a des tentatives pour provoquer les jeunes musulmans et les pousser à la violence, pêut-être dans le but de repousser les élections», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
Rached Ghannouchi lui a répondu en dénonçant une opération destinée selon lui à jeter le discrédit sur le mouvement islamiste tunisien.
«Nous avons le sentiment qu'il y a des tentatives pour provoquer les jeunes musulmans et les pousser à la violence, pêut-être dans le but de repousser les élections», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
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