Ah, le Journal Le Monde n'arrête pas de mentir par omission. Ici, dans le cas de Mahmoud Sarsak,un footballeur palestinien libéré par Israël après une grève de la faim. L'article commence ainsi :
Il rêvait de se faire connaître par ses dribbles et ses tirs en pleine lucarne. Mais c'est par un autre genre d'exploit que le joueur de football palestinien Mahmoud Sarsak a capturé l'attention du public. En juillet 2012, au prix d'une grève de la faim de quatre-vingt-dix jours, le milieu-de-terrain, qui était emprisonné en Israël depuis trois ans sans procès, a arraché sa liberté à ses geôliers.
...Ils m'ont arrêté quand j'allais disputer un match de football et parce que je portais le drapeau de mon pays en dehors de la bande de Gaza. En chemin, j'ai croisé mes bourreaux. »Le lecteur ne peut que compatir au sort du jeune sportif. Le Monde ne dit pas que Sarsak était accusé d'appartenir au groupe Djihad Islamique, plus extrémiste , si c'est possible que le HAMAS.
De fait un journaliste de l'Associated Press a été plus honnête et a noté qu'un des chefs du Jihad Islamique a loué Sarsak par les termes suivants: "un de nos plus nobles membres".
Il faisait donc bien partie de ce groupe terroriste. Le journal Le Monde ne peut s'empêcher de manipuler l'information !
Extrait du communiqué de l'Associated Press traduit par Terre D'Israël:
Mahmoud Sarsak, est soupçonné par Israël d’avoir eu des liens avec le Djihad islamique, Le footballeur dément les accusations portées contre lui.
Toujours est-il que mardi à Gaza des hauts responsables du Jihad Islamique étaient présents a cette chaleureuse cérémonie donnée en son honneur et ou un des leaders du groupe, Nafez Azzam, a loué le footballeur comme « un de nos nobles membres . »
Plus tard, Sarsak à rejoint sa famille dans le camp de rafah ou des dizaines de membres du Djihad islamique armés de Kalashnikovs ont tiré en l’air de leur 4×4 et leurs motos.
Des femmes ont brandi des bannières noires du Jihad Islamique dans tout le quartier décoré d’énormes affiches du joueur.
et le "sans procès" est une précision aberrante, en Israël, les emprisonnement passent toujours par la case "procès". Mais dans ce type de mensonge peut-on parler d' "omission" ? L'idée étant clairement de faire passer Israël pour une république bananière !
RépondreSupprimer