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mercredi 24 novembre 2010

Le mur des Lamentations (Kotel) est musulman et n'a rien à voir avec le judaïsme selon une étude par Al Mutawakel Taha , poete de renom et un membre du ministere de l'information Palestinien

Europe-Israel

Dans un document officiel qu’ils viennent de publier, indique le Jerusalem Post en anglais, ils affirment que le Kotel, Mur occidental, « n’appartient pas à Israël mais à une famille musulmane maroco-algérienne qui en a confié la gestion au Waqf  (un comité musulman) ».
Cette « étude », rédigée par un ancien membre officiel de l’AP, Al Mutawakel Taha ( en arabe sur ce site) , a été remise au responsable palestinien de l’éducation pour qu’il la diffuse. Son objectif est clair : les Palestiniens cherchent ainsi à réfuter les arguments des Israéliens qui revendiquent, à juste titre, la propriété du Kotel, l’un des lieux les plus saints du peuple juif.
Dans son texte, l’auteur ose même écrire que « le Mur occidental appartient aux Musulmans et fait partie intégrante de la Mosquée el Aqsa et du « noble sanctuaire ». Ces affirmations n’ont rien de surprenant lorsqu’on sait que les Palestiniens ont toujours prétendu qu’Israël n’avait aucun droit sur le site, que le Mont du Temple ne s’était jamais trouvé à cet endroit et qu’aucune pierre de ce mur ne datait de l’époque du Roi Salomon.
Poursuivant ses provocations, Taha, poète et écrivain, dit également : « L’occupant sioniste clame que ce mur, qu’il appelle Kotel ou mur occidental, lui appartient  mais c’est faux et injuste. Le Mur Al-Buraq est en fait le mur occidental de la mosquée d’Al-Aqsa ».  Mais il n’arrête pas là ses mensonges, affirmant que « les Juifs n’ont jamais utilisé le site jusqu’à la déclaration Balfour en 1917 » et que ce n’est que grâce à la « tolérance des Musulmans » qu’ils ont pu y prier et se lamenter sur sa destruction ».
“Pendant le mandat britannique, ajoute-t-il, le nombre des Juifs qui ont visité le mur a nettement augmenté, à tel point que les Musulmans se sont sentis menacés et c’est ce qui a conduit à la révolution d’Al-Buraq, le 23 août 1929, au cours de laquelle des douzaines d’entre eux ont été « martyrisés » et un grand nombre de Juifs ont été tués ». L’auteur fait sans doute allusion … au terrible massacre de Hébron, au cours duquel 67 Juifs ont été sauvagement assassinés par leurs voisins arabes et des dizaines d’autres blessés.
Prétendant encore que d’après des experts juifs, il n’y aurait aucun vestige archéologique attestant que le Temple (Bet Hamikdash) a été construit pendant le règne du roi Salomon, il soutient une nouvelle fois que « le mur al-Buraq est musulman et qu’il fait partie des mosquées al Aqsa et Haral Al-Sharif ».
En conclusion, le document adresse une mise en garde à ses lecteurs palestiniens, leur disant « qu’aucun arabe ou musulman n’a le droit de renoncer à une seule pierre du mur d’Al-Buraq ou à d’autres sites religieux ».

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