Dans un télégramme du 20 avril 2008 (disponible intégralement sur le site du Guardian), rendant compte d'un entretien entre l'ambassadeur des Etats-Unis en Irak, Ryan Crocker, le général David Petraeus, alors commandant des forces américaines en Irak, et d'une forte délégation saoudienne conduite par le roi Abdallah, il fait explicitement référence à une action militaire :
« Le roi, le ministre des Affaires étrangères, le prince Muqrin, et le prince Nayif, étaient tous d'accord sur le fait de coopérer avec les Etats-Unis pour résister et repousser l'influence et la subversion iraniennes en Irak. Le roi insistait beaucoup sur ce point, et était soutenu par les deux princes.
Al-Jubeir a rappelé les exhortations répétées du roi aux Etats-Unis pour qu'ils attaquent l'Iran et mettent fin au programme nucléaire iranien militaire. “Il vous a dit de couper la tête du serpent”, a-t-il dit au chargé d'affaires, rappelant que c'était une priorité stratégique pour le roi et son gouvernement de travailler avec les Américains pour repousser l'influence iranienne en Irak »
Même si Israël disparaissait le problème de l’hégémonie Iranienne resterait entier.
Moyen Orien, Islam, Islamisme, Monde Arabe, Israël, actualité, histoire, analyse
Rechercher dans ce blog
lundi 29 novembre 2010
Attentats à la bombe à Téhéran : deux spécialistes du nucléaire visés , l'un d'eux est décédé.
TEHERAN (AP) — Deux spécialistes du nucléaire ont été visés lundi par deux attentats à la bombe séparés, à Téhéran, a annoncé la télévision officielle iranienne. Un scientifique a été tué et l'autre grièvement blessé.
Les assaillants à moto ont lancé leur engin explosifs contre les voitures des deux scientifiques alors qu'ils se rendaient à leur travail lundi matin, précise le site internet de la télévision officielle.
Majid Shahriari, membre de la faculté d'ingénierie nucléaire de l'université Shahid Beheshti de Téhéran, a été tué et sa femme blessée.
Dans l'autre attaque, un physicien Fereidoun Abbasi a été grièvement blessé. Sa femme qui était avec lui dans leur véhicule a également été touchée.
La télévision officielle a aussitôt accusé Israël d'avoir organisé les attentats. AP
Turquie: déni du droit à la propriété pour les Israéliens et les Grecs-aucune restriction pour les Iraniens Syriens et et Saoudiens selon un projet de loi.
Un projet de loi en cours d’élaboration en Turquie stipule que les israéliens ne seront pas en mesure d’acheter des terres dans le pays, mais seront toujours en mesure d’y louer des appartements, selon le journal turc Milliyet.
Par contre, si le projet de loi passe, les citoyens venant d’Iran, d’Arabie Saoudite et de Syrie seront autorisés à continuer d’acheter des terres chaque fois qu’ils le souhaitent.
L’article indique que le bureau du premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a ordonné au ministère de l’infrastructure et du logement d’assouplir les conditions sur l’achat de terrains en vue de rendre la transaction plus accessible aux étrangers, et ainsi d’attirer les investisseurs internationaux.
Mais alors que tous les citoyens du monde seront en mesure d’acheter des terres en présentant un passeport, seuls ceux qui ont un passeport israélien ou grec ne pourront avoir ce « plaisir ».
Et, dans un autre geste vis-à-vis de l’Iran et de ses alliés, le projet de loi limite la quantité de terres disponibles pour l’achat a tous les citoyens, sauf ceux qui ont un passeport iranien, syrien ou saoudien, qui eux seront en mesure d’acheter autant de terres qu’ils veulent.
Selon le Milliyet, le projet de loi est en travaux depuis un certain temps, et devra être soumis très prochainement au parlement lors d’un processus accéléré.
Le mur des lamentations n'est pas l'endroit où Mahomet à attaché son cheval de légende.
Un ministre palestinien disait qu’Israël n’avait pas le droit de faire des travaux d’améliorations sur la place du mur des lamentations (principalement améliorer l’accès handicapé et l’accès des ambulances). Dans son discours, il expliquait que le mur des lamentations est le lieu ou le Prophète Mohamed aurait attaché son cheval avant d’aller sur les ruines du Temple de Salomon pour y faire un rêve (qui gâchera le rêve de tous les juifs du monde qui ont vécu depuis la création du Prophète).
Mais jusqu’au XIXème siècle , donc assez récemment, le lieu ou Mohamed a attaché son cheval n’était pas le mur des lamentations mais “Bab el Nazir” (qui sera renommée la Porte de Mahomet). Dans le livre de Sir Charles Warren, tout est très clair.
Il me semble bien qu’il existe pas mal de textes sur le lieux “exacte” ou le cheval aurait été attaché et selon ma mémoire, aucun de ces lieux n’était le Kotel… Quant aux palestiniens, il faudrait leur rappeler que l’endroit ou ils ont construit le dôme d’or, c’est le centre même du Temple de Salomon. On trouverait dans ce lieu (selon la tradition juive) la pierre qui a servi à créer la terre. Doit-on rappeler quotidiennement aux musulmans qu’en construisant leur dôme sur les ruines du lieu le plus saint du judaïsme, ils ne font que donner un très mauvais exemple de tolérance. Surtout qu’ils refusent la moindre fouille archéologique, ils ont bien trop peur de découvrir la vérité!
Quand Netanyahu déclare que “le Mur occidental est l’endroit le plus saint du peuple juif depuis 2000 ans et la destruction du Temple” il fait une grosse erreur. L’endroit le plus sacré, c’est justement le Mont du Temple, là ou le dome et la mosquée ont été construite pour imposer l’islam aux habitants de la région.
En disant cela, Netanyahu abandonne la tradition juive et les revendications de notre lieu saint, et le fait que le premier ministre de l’État juif puisse faire une telle déclaration est symptomatique d’une société qui se résigne.
Le Fatah refuse de reconnaître l'existence du peuple juif. Abbas sur le sentier de guerre
WAFA (agence de presse officielle palestinienne) et JSS
Le Conseil Révolutionnaire du Fatah vient de publier un communiqué ou il déclare “refuser fermement la reconnaissance d’Israël comme Etat Juif” et “appel le peuple palestinien à résister activement face à Israël”.
“Le Conseil affirme son rejet total et complet du soi-disant Etat Juif ou de toute autre formule qui pourrait atteindre cet objectif. Le Conseil renouvelle aussi son refus à l’établissement d’un Etat raciste fondé sur la religion, en conformité avec le droit international et les conventions sur les droits de l’homme. “
La constitution palestinienne dit pourtant que la Palestine est un pays arabe et musulman....
(Article 5 de la constitution palestinienne: "L’Arabe et l’Islam sont la langue et la religion palestiniennes officielles.")
“le Conseil a également appelé tous les Palestiniens à s’engager activement dans la résistance”. Mahmoud Abbas qui a signé le communiqué avec son nom de guerre (Abou Mazen), déclare qu’il ne “reprendra jamais” les négociations de pais avec Israël jusqu’à ce que les juifs cessent de construire de nouveau. Ou étaient les palestiniens pendant qu’Israël suspendait les constructions pendant 10 mois ?
Enfin, le conseil s’oppose à ce qui est pourtant la base même des accords de paix avec les israéliens: les échanges de terre. Ces “échanges” font partie de tous les accords, même approuvés par le défunt leader terroriste Yasser Arafat. Un échange de terre signifie pour pour chaque mètre carré ou un juif vit (dans les territoires disputés), Israël devrait “rembourser” cette terre ailleurs.
Le Conseil Révolutionnaire du Fatah vient de publier un communiqué ou il déclare “refuser fermement la reconnaissance d’Israël comme Etat Juif” et “appel le peuple palestinien à résister activement face à Israël”.
“Le Conseil affirme son rejet total et complet du soi-disant Etat Juif ou de toute autre formule qui pourrait atteindre cet objectif. Le Conseil renouvelle aussi son refus à l’établissement d’un Etat raciste fondé sur la religion, en conformité avec le droit international et les conventions sur les droits de l’homme. “
La constitution palestinienne dit pourtant que la Palestine est un pays arabe et musulman....
(Article 5 de la constitution palestinienne: "L’Arabe et l’Islam sont la langue et la religion palestiniennes officielles.")
“le Conseil a également appelé tous les Palestiniens à s’engager activement dans la résistance”. Mahmoud Abbas qui a signé le communiqué avec son nom de guerre (Abou Mazen), déclare qu’il ne “reprendra jamais” les négociations de pais avec Israël jusqu’à ce que les juifs cessent de construire de nouveau. Ou étaient les palestiniens pendant qu’Israël suspendait les constructions pendant 10 mois ?
Enfin, le conseil s’oppose à ce qui est pourtant la base même des accords de paix avec les israéliens: les échanges de terre. Ces “échanges” font partie de tous les accords, même approuvés par le défunt leader terroriste Yasser Arafat. Un échange de terre signifie pour pour chaque mètre carré ou un juif vit (dans les territoires disputés), Israël devrait “rembourser” cette terre ailleurs.
dimanche 28 novembre 2010
Elections parlementaires en Egypte : violence record
Al Masry al Youm
Selon le vise président de la cour de cassation Mahmoud al Khoudairy les élections législatives de 2010 battent les records de violence et de truquage.
Selon le vise président de la cour de cassation Mahmoud al Khoudairy les élections législatives de 2010 battent les records de violence et de truquage.
Le pape Copte Shenouda III avertit les autorités du courroux de Dieu
Al Masry Al Youm
Suite aux émeutes où 20 maisons coptes avaient été brulées et au harcèlement administratif empêchant la construction d'une église , le Pape Shenouda III de l’Eglise Copte Orthodoxe a comparé l'oppression des coptes en Egypte avec celle des premiers chrétiens de Rome.
Il a affirmé que Dieu était patient, mais qu'il y a aussi la colère de Dieu et qu'elle peut être terrible.
Suite aux émeutes où 20 maisons coptes avaient été brulées et au harcèlement administratif empêchant la construction d'une église , le Pape Shenouda III de l’Eglise Copte Orthodoxe a comparé l'oppression des coptes en Egypte avec celle des premiers chrétiens de Rome.
Il a affirmé que Dieu était patient, mais qu'il y a aussi la colère de Dieu et qu'elle peut être terrible.
Le premier ministre Libanais se soumet à l'Iran lors de sa visite officielle dans le pays des mollahs
Téhéran: le Premier ministre libanais Saad Hariri a rencontré le ministre de la défense de l'Iran, dimanche, en soulignant que l'unité entre les Etats arabes et l'Iran contre les menaces communes était de «grande importance».
Le Liban poursuivra sa «résistance» à Israël, a également déclaré Saad , lors d'une visite de trois jours à la République islamique moins d'un mois après que Mahmoud Ahmadinejad a rendu la première visite officielle au Liban d'un président iranien.
La visite de Sa'ad cherche en partie de l'aide Iranienne et en partie à prévenir un tournant violent des tensions politiques si un tribunal soutenu par l'ONU accuse les membres de l'Hezbollah soutenus par l'Iran et la Syrie- pour avoir tué son père.
"La stabilité, la sécurité et l'unité du Liban jouent un rôle clé dans la résolution des problèmes internes et régionaux. Sur cette base, j'étais prêt à venir en Iran et de voir vos exploits militaires défensifs malgré l'avis de nos ennemis," Saad a déclaré aux journalistes, selon le site de télévision d'Etat IRIB.
«Le Liban a résisté au régime sioniste jusqu'à présent et continuera la résistance", at-il déclaré en marge de sa visite à une exposition militaire.
"La Palestine, la Syrie, le Liban, l'Irak et l'Iran ont toujours été entourés par le danger. Par conséquent, l'unité entre les Arabes et l'Iran est une question de grande importance."
Les diplomates occidentaux ont déclaré que le tribunal pourrait inculper des membres du Hezbollah par l'année prochaine pour l'attentat de 2005 qui a tué l'ancien premier ministre Rafik Hariri et 21 autres personnes.
Les politiciens libanais craignent que les actes d'accusation pourraient inciter à la confrontation et à la violence entre le Hezbollah chiite, qui a nié toute implication dans l'assassinat d'Hariri, et les alliés des sunnites du premier ministre.
Le Ministre de la Défense iranien Ahamad Vahidi a offert à Harriri mitrailleuse de fabrication iranienne ("Tondar " Tonnerre) et a déclaré: "Nous avons déclaré à plusieurs reprises, et nous le répétons aujourd'hui, que nous sommes aux côtés de l'armée libanaise et que nous sommes sont prêts à coopérer" avec elle.
Saad devait rencontrer le président iranien Mahmoud Ahmadinejad tard dans la soirée et les deux pays devraient se concentrer sur COOPERATION mutuelle.
Ça doit être dramatique de faire allégeance aux assassins de son propre père!
Syrie: une nouvelle législation va restreindre la liberté d'expression des blogs
GulfNews
Il faudra désormais que les blogueurs s'inscrivent dans un registre national comme des journalistes avec la supervision des services de la police politique.Ces nouveaux médias avaient publié sur des affaires sensibles comme la corruption et les abus de l'armée.Ils ont contribué au débat sur des sujets controversés comme le statut personnel (application de la charia et non de l aloi laïque) et le problème des punitions corporelles.
Il faudra désormais que les blogueurs s'inscrivent dans un registre national comme des journalistes avec la supervision des services de la police politique.Ces nouveaux médias avaient publié sur des affaires sensibles comme la corruption et les abus de l'armée.Ils ont contribué au débat sur des sujets controversés comme le statut personnel (application de la charia et non de l aloi laïque) et le problème des punitions corporelles.
Le Kuwait Times retire l'info sur l'interdiction des appareils reflex numériques dans le pays, une bourde journalistique?
KuwaitTimes
"Après enquête il s’avère qu'il n'y a jamais eu de telle interdiction. Nous présentons nos excuses aux lecteurs...."
Bourde journalistique ou changement de cap du gouvernement devant le tollé?
"Après enquête il s’avère qu'il n'y a jamais eu de telle interdiction. Nous présentons nos excuses aux lecteurs...."
Bourde journalistique ou changement de cap du gouvernement devant le tollé?
Obama et l'islam
DRZZ par Ftouh Souhail
extraits:
La grand-mère kenyane du Président Barack Obama, Sarah Obama, qui vient d'achever le pèlerinage à La Mecque, a indiqué avoir prié pour que son petit-fils se convertisse à l'Islam, rapporte jeudi 25 novembre 2010 le quotidien saoudien Al Watan, qui précise qu'elle a effectué le pèlerinage avec son fils, Saeed Hussein Obama, l'oncle du président américain, et quatre de ses petits-fils.
......
Dans l’entretien qu’elle a accordé au quotidien Al Watan, elle dit, depuis la Mecque "J'ai prié pour que mon petit-fils Barack se convertisse à l’islam".Avec la montée de l'islamisme, beaucoup, dans le monde musulman, prient pour l'affaiblissement des États-Unis, dans le but de remplir le vide qui s’ensuivra par les forces montantes de l'Islam radical, qu'elles soient sunnites ou chiites.
Obama serait également responsable de la vague en faveur du port du voile (hijab), en dehors des frontières des États-Unis. Cette vague est étayée par les discours délirants d'Obama en faveur de l'Islam. Le 4 juin 2009, le Président américain a défendu au Caire le port du voile pour les musulmanes en Occident, prenant ainsi le contre-pied des efforts laïques de pays Européens. Par trois fois dans son discours, Barack Obama avait critiqué le fait qu'un pays occidental « dicte les vêtements » qu'une musulmane « doit porter ».
Obama est le premier président de l’histoire des États-Unis à avoir installé une femme voilée à proximité du bureau ovale : Dalia Mogahed,responsable des « Affaires religieuses », dont on ne peut ignorer les vues sur lesdites affaires.
Après son discours pro-islamique du Caire, beaucoup de pays avaient assisté à une explosion du port du voile. Obama avait en effet ouvert la boite de Pandore des revendications islamistes.
Lors d'un repas de rupture du jeûne du ramadan à la Maison Blanche, en aout 2010, Hussein Obama a même défendu l'installation d'une mosquée à proximité du site des attentats du 11 septembre à New York provocant l'émoi des familles de victimes. Qualifiant Ground Zero de terre sacrée, il a néanmoins insisté sur le fait qu'Al-Qaïda n'est pas l'Islam. Le Prix Nobel de la Paix a pris position dans un vibrant plaidoyer pour la construction de cette mosquée dans l'ombre de Ground Zero, dix ans après les attentats perpétrés par Al-Qaïda.
180 000 Palestiniens ont été soignés dans les hôpitaux israeliens en 2009
Voici l'extrait d'une conférence sur la coopération médicale entre Israël et les Palestiniens du 22 novembre au centre médical Hadassah du mont Scopus à Jérusalem
Les dilemmes humanitaires sont un problème récurrent en Judée Samarie et dans la région. Un terroriste fait feu sur des soldats de Tsahal et est blessé. Est-ce qu'un médecin militaire sera appelé pour le traiter? Un bâtiment est sur le point de s'effondrer dans le cœur de Ramallah. Les soldats vont ils y entrer? Faut-il mettre en péril la vie de ces soldats, ou faut-il appeler la Croix-Rouge internationale au risque de perdre un temps précieux?
Pour Israël, la réponse à ces questions est claire. Selon la Division des affaires médicales, le lieutenant-colonel Michael Kassirer: "Le traitement de la population palestinienne est d'abord et avant tout une obligation morale et professionnelle de chacun d'entre nous." Avons-nous les traiter? Il n'est pas question de ne pas le faire. Mais qu'est ce qui se passe au long terme et comment? Où doivent se situer les organisations internationales dans tout ça? Comment mettre en place un organisme palestinien médical indépendant et comment doit être la coordination entre les différentes organisations sur le terrain? Ce sont les vraies questions.
......
Le nom complet de Dalia est Dalia Basa, coordinateur médical de l' Administration civile . En réalité, elle est le lien entre tous ceux qui ont un rapport avec de la médecine dans les territoires.
Lors de la conference d'aujourd'hui, son nom a été mentionné à plusieurs reprises, toujours avec respect. Dans l'interview avec le site web de Tsahal, elle parle avec calme : "Une relation de confiance mutuelle s'est créée entre nous. Je leur dis toujours la vérité. Lorsque les Palestiniens ne font pas ce qui est nécessaire, je n'ignore pas leur comportement, mais malgré cela, je vais toujours les ecouter. Je les entends.
” Je comprends leurs problèmes. "
Le travail est 24/7. Il y aura toujours des incidents médicaux. La santé n'est pas quelque chose à laquelle on peut imposer un couvre-feu ou d'en demander le gel. "Je suis disponible en tout temps. Même le Chabbat, même à 3 heures du matin si nécessaire. ” Il ya un contact constant entre moi et les médecins des deux côtés, les ambulanciers et les patients eux-mêmes. "
Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, à cause du désir et de volonté,ça marche.
L'année dernière, 180.000 citoyens palestiniens sont entrés en Israël pour recevoir un traitement. 3.000 patients ont été transférés d'urgence à partir d'Israël aux ambulances palestiniennes en utilisant la méthode "back to back», sans accord préalable. "En fin de compte, c'est une expérience enrichissante. Il ya frustration, il y en a, bien sûr. Mais d'autre part, il ya des gens qui me voient dans la rue ou dans les hôpitaux, ils entendent mon nom et disent: «Vous m'avez sauvé la vie de mon fils». Lorsque vous arrivez à la maison à la fin de la journée et que vous jugez votre vie, vous savez que vous avez sauvé des vies. .” Vous savez que vous avez fait beaucoup de bien. "
Les dilemmes humanitaires sont un problème récurrent en Judée Samarie et dans la région. Un terroriste fait feu sur des soldats de Tsahal et est blessé. Est-ce qu'un médecin militaire sera appelé pour le traiter? Un bâtiment est sur le point de s'effondrer dans le cœur de Ramallah. Les soldats vont ils y entrer? Faut-il mettre en péril la vie de ces soldats, ou faut-il appeler la Croix-Rouge internationale au risque de perdre un temps précieux?
Pour Israël, la réponse à ces questions est claire. Selon la Division des affaires médicales, le lieutenant-colonel Michael Kassirer: "Le traitement de la population palestinienne est d'abord et avant tout une obligation morale et professionnelle de chacun d'entre nous." Avons-nous les traiter? Il n'est pas question de ne pas le faire. Mais qu'est ce qui se passe au long terme et comment? Où doivent se situer les organisations internationales dans tout ça? Comment mettre en place un organisme palestinien médical indépendant et comment doit être la coordination entre les différentes organisations sur le terrain? Ce sont les vraies questions.
......
Le nom complet de Dalia est Dalia Basa, coordinateur médical de l' Administration civile . En réalité, elle est le lien entre tous ceux qui ont un rapport avec de la médecine dans les territoires.
Lors de la conference d'aujourd'hui, son nom a été mentionné à plusieurs reprises, toujours avec respect. Dans l'interview avec le site web de Tsahal, elle parle avec calme : "Une relation de confiance mutuelle s'est créée entre nous. Je leur dis toujours la vérité. Lorsque les Palestiniens ne font pas ce qui est nécessaire, je n'ignore pas leur comportement, mais malgré cela, je vais toujours les ecouter. Je les entends.
” Je comprends leurs problèmes. "
Le travail est 24/7. Il y aura toujours des incidents médicaux. La santé n'est pas quelque chose à laquelle on peut imposer un couvre-feu ou d'en demander le gel. "Je suis disponible en tout temps. Même le Chabbat, même à 3 heures du matin si nécessaire. ” Il ya un contact constant entre moi et les médecins des deux côtés, les ambulanciers et les patients eux-mêmes. "
Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, à cause du désir et de volonté,ça marche.
L'année dernière, 180.000 citoyens palestiniens sont entrés en Israël pour recevoir un traitement. 3.000 patients ont été transférés d'urgence à partir d'Israël aux ambulances palestiniennes en utilisant la méthode "back to back», sans accord préalable. "En fin de compte, c'est une expérience enrichissante. Il ya frustration, il y en a, bien sûr. Mais d'autre part, il ya des gens qui me voient dans la rue ou dans les hôpitaux, ils entendent mon nom et disent: «Vous m'avez sauvé la vie de mon fils». Lorsque vous arrivez à la maison à la fin de la journée et que vous jugez votre vie, vous savez que vous avez sauvé des vies. .” Vous savez que vous avez fait beaucoup de bien. "
Les symboles nazis sont populaires en Iran aussi
Les crises eclatent dans le monde entier. Et le leader du monde libre ne fait qu'empirer les choses.
EDitorial de Carolin Glick au Jérusalem Post du 26/11/2010
Sur la péninsule coréenne, la Corée du Nord a bouleversé huit années de faux-fuyants avec le département d'Etat [ministère des affaires étrangeres américain] , en montrant à une équipe de scientifiques nucléaires américains sa collection de milliers de centrifugeuses de pointe installés dans son réacteur nucléaire de Yongbyon.
Et pour couronner le tout , alors que Stephen Bosworth, l'homme designé par le président américain Barack Obama pour gerer la Corée du Nord, était en train de affirmant que cette révélation n'etait pas une crise, le Nord a tiré un barrage d'artillerie sans provocation sur la Corée du Sud, ce qui démontre qu'en réalité, c'est une crise.
Mais l'administration Obama reste inchangée. Le mardi secrétaire à la Défense Robert Gates a remercié son homologue sud-coréen, Kim Tae-young, pour avoir afficher une "retenue".
Jeudi, Kim a démissionné dans la disgrâce de cette retenue.
Les États-Unis ont affirmé fortement qu'ils ne laisseront pas l'agression de la Corée du Nord rester sans réponse. Mais en pratique, sa seule réponse est d'essayer de tenter à faire participer la Corée du Nord à des ineptes pourparlers sur le désarmement multilatéral, qui n'ira nulle part, parce que la Chine soutient l'armement des Nord-Coréens.
Contrairement à ce que Obama et ses conseillers réclamation, la Chine ne partage pas l'intérêt des Etats-Unis dans la dénucléarisation de la Corée du Nord.
Par conséquent, Beijing ne lèvera pas le petit doigt pour atteindre cet objectif.
Ensuite, il ya l'Iran. Le fait désormais incontestable que Pyongyang est en train de développer des armes nucléaires à l'uranium enrichi, rend presque certain l'implication des proliférateurs hyperactifs de Pyongyang dans le programme d'armes nucléaires iranien. Il est évident que les Nord-Coréens ne se soucient pas des sanctions sur l'Iran imposés par le Conseil de sécurité. Le role présumé de la Corée du Nord dans le programme iranien d'armes nucléaires demontre l'idiotie de l'idée que ces sanctions peuvent empecher l'Iran de developper un arsenal nucléaire.
Chaque jour, alors que les régimes de Pyongyang et Téhéran renforcent leurs attitude agressives et de confrontation, il devient de plus en plus clair que la seule façon de neutraliser les menaces qu'ils représentent pour la sécurité internationale est de les renverser.
Au moins dans le cas de l'Iran, il est également clair que les perspectives de changement de régime n'ont jamais été meilleures.
Le régime iranien est en difficulté. Depuis les élections présidentielles frauduleuses il ya 17 mois, le régime a agi férocement contre ses ennemis domestiques.
Mais la dissidence n'a fait que croître. Et comme le ressentiment populaire envers le régime a augmenté, les gouvernants , allant du président Mahmoud Ahmadinejad, du dictateur suprême Ali Khamenei et des gardiens de la révolution, sont devenus effrayés de leur propre peuple. Ils ont emprisonné des rappeurs et interdit la musique occidentale. Ils ont purgé les manuels scolaires l'histoire de la Perse. Tout ce qui relève de quoi que ce soit non-islamique est considéré comme une menace.
Les membres du régime sont si effrayés par le public que cette semaine , plusieurs membres du Parlement ont essayé d'entamer une procédure de destitution contre Ahmadinejad.
Apparemment, ils espèrent que l'éviction sera suffisante pour mettre fin à l'appel du public pour un changement révolutionnaire.
Mais Khamenei est à ses côtés. Et la procédure de destitution s'est terminé aussi vite qu'elle a été commencée.Les implications politiques de tout cela sont claires.
Les États-Unis devrait détruire les installations nucléaires de l'Iran et aider le peuple iranien à renverser le régime. Mais l'administration Obama ne veut rien de tout cela.Plus tôt ce mois-ci, M. Gates a dit: «Si c'est une solution militaire, pour autant que je suis concerné, elle unira une nation divisée."
A son avis, le peuple iranien qui risque la mort pour défier le régime tous les jours, le peuple iranien qui appelle Ahmadinejad «le chimpanzé», qui appele à la mort de Khamenei de leurs toits tous les soirs, se ralliera autour du chimpanzé et du dictateur si les États-Unis ou Israël attaquent les installations nucléaires de l'Iran.
En raison de cette conception des choses , l'administration Obama maintien que les États-Unis doivent s'en tenir à sa politique de sanctions qui ont échoué et doivent continuer ses tentatives infructueuses pour conclure un accord nucléaire avec les mollahs.
Comme Michael Ledeen a noté la semaine dernière à Pajamas Media, cette affirmation passe-partout, qui n'est soutenue par aucune preuve, est ce qui passe pour de la sagesse stratégique à Washington tandis que l'Iran achève son projet nucléaire. Et ce refus des États-Unis de comprendre les implications politiques de rejet populaire du régime est ce qui amène les sages hommes et femmes du Département d'État à la conclusion que les États-Unis n'a rien à faire dans ce combat. Comme a dit le porte-parole du département d'Etat PJ Crowley au Wall Street Journal cette semaine, la tentative du parlement Iranien de destituer Ahmadinejad n'est rien de plus que le produit de «rivalités au sein du gouvernement iranien."
Ensuite, il ya le Liban. Depuis la visite d'Ahmadinejad le mois dernier, il est évident que l'Iran est maintenant le souverain du Liban et qu'il exerce son autorité sur le pays par son représentant le Hezbollah.
Les menaces sans ambages du Hezbollah de renverser le gouvernement du Premier ministre Saad Hariri si le rôle du Hezbollah dans l'assassinat de son père en 2005 est officiellement reconnu rend cette réalité tragique encore plus indéniable. Et pourtant, l'administration Obama continue de nier que l'Iran contrôle le Liban.
Un mois après la visite d'Ahmadinejad, Obama a convaincu le Congrès sortant de lever son veto sur les 100 millions de dollars en aide militaire américaine à l'armée du liban dominé par le Hezbollah, . Et les États-Unis ont convaincu Israël de renoncer à la moitié nord de la ville frontalière de Ghajar cedée aux forces de l'ONU, malgré le fait que les forces de l'ONU sont à la merci du Hezbollah.
Au milieu de toutes ces crises, Obama a maintenu sa foi dans ses deux objectifs centraux de politique étrangère: forcer Israël à se retirer sur les lignes indéfendables de l'armistice de 1949 et la reduire l'arsenal nucléaire américain en lorgnant vers le désarmement unilatéral.
Tandis que les forces du chaos et de la guerre intensifier leurs menaces et les agressions, les objectifs centraux d'Obama restent affaiblissement de l'allié le plus puissant des Etats-Unis au Moyen-Orient et de rendreles États-Unis impuissants pour décourager ou empêcher la prolifération rapide des Etats voyous qui sont en guerre avec les États-Unis et ses alliés.
Cela étant dit, la vérité est que dans la promotion de ces objectifs, Obama est en phase avec ses prédécesseurs. Aussi bien George H.W.Bush et Bill Clinton ont promulguée des réductions drastiques dans les arsenaux conventionnels et non conventionnels des États-Unis . Clinton et George W. Bush avaient adopté des politiques d'apaisement envers la Corée du Nord. En effet, Pyongyang doit son arsenal nucléaire au désir des deux présidents de se laisser berner et de ne rien faire.
En outre, la capacité de la Corée du Nord à la prolifération des armes nucléaires aux semblables de l'Iran, la Syrie et le Venezuela est due en grande partie à l'insistance de la secrétaire de l'Etat de l'époque, Condoleezza Rice, selon laquelle Israël ne devait rien dire au sujet des liens nucléaires entre la Corée du Nord l'Iran et la Syrie dans les suites de la destruction par Israël du réacteur nucléaire de construction nord-coréenne et financé par l’Iran en Syrie en Septembre 2007.
Quant à l'Iran, la tentative d’apaisement d'Obama du régime est peu différente des politiques de ses prédécesseurs. L'administration Bush a refusé de reconnaître le fait que les guerres en Afghanistan et en Irak sont à un grand degré de guerres Iraniennes par procuration.
L'administration Bush a refusé de reconnaître que la Syrie et le Hezbollah sont gérés par Téhéran et que la guerre de 2006 contre Israël n'a été rien de plus que l'expansion des guerres par procuration de l'Iran .
Obama a échoué en ce qui concerne la remise à zéro de la politique envers la Russie tout comme ses prédécesseurs.
Bush n'a rien fait, à part rogner après que la Russie ait envahi la Géorgie, un allié américain. L'administration Clinton a ouvert la voie à l'Etat du KGB de Vladimir Poutine en gaspillant l'influence massive des Etats-Unis sur la Russie post-soviétique et en permettant à Boris Eltsine et ses copains de transformer le pays en une pauvre kleptocratie .
Enfin, l'obsession d'Obama avec de nombreux cadeaux territoriaux israéliens à l'OLP a été partagé par Clinton et par le jeune Bush, en particulier après 2006. Rice - qui a comparé Israël aux racistes du Sud des Etats unis - a été sans doute aussi hostile à Israël qu'Obama.
Obama est-il vraiment pire que tout le monde ou est-il que le dernier d'une lignée de présidents américains qui n'ont aucune idée sur comment faire fonctionner une politique étrangère efficace? La réponse abrégée est qu'il est bien pire que ses prédécesseurs.
Les marges de manœuvre d'un président américain dans les affaires étrangères sont toujours très faibles. L’establishment de la politique étrangère à Washington est solidement implanté derrière des remparts et uniformément opposé à flechir sous la volonté des dirigeants élus. Les élites du département d'État, de la CIA et leurs amis dans les milieux universitaires et politiques à Washington sont également toujours insensibles à la réalité, qui, en règle générale démontre que leurs politiques sont ruineuses.
Le président dispose de deux moyens pour modifier le cap du navire de l'État. Tout d'abord, il peut utiliser son pouvoir direct. Deuxièmement, il peut nommer des personnes à des postes clés dans la bureaucratie de la politique étrangère.
Depuis son entrée en fonctions, Obama a utilisé ces deux pouvoirs à mauvais escient. Il a voyagé à travers le monde condamnant et en s'excusant pour le leadership mondial des États-Unis. Ce faisant, il a convaincu alliés et adversaire comme qu'il n'est pas un leader crédible, que personne ne peut compter sur des garanties de sécurité des États-Unis au cours de son mandat, et qu'il est possible d'attaquer les États-Unis, ses alliés et leurs intérêts en toute impunité.
L'appel d'Obama pour un monde exempt d'armes nucléaires, combinées à son attitude agressive envers l'arsenal nucléaire présumé d'Israël , son offre de désarmer l'arsenal nucléaire américain, et sa réponse inefficace à la politique nucléaire de la corde raide nord-coréenne et au projet nucléaire de l'Iran, ont servi à convaincre les pays du golfe Persique, l'Amérique du Sud et la région du Pacifique qu'ils devraient commencer à développer des armes nucléaires. En appelant au désarmement nucléaire, il a provoqué la plus grande vague d'armement nucléaire de l'histoire.
Etat donné ses propres convictions, il n'est pas étonnant que tous responsables qu'il a nommé aux postes clés de la politique étrangère sont de son (dangereux) avis . Le conseiller juridique Harold Koh au Département d'Etat estime que les États-Unis devraient subordonner ses lois, à une notion abstraite et généralement dénuées de fondement du droit international. Le Sous Secrétaire à la politique de la Défense, Michele Flournoy estime que les terroristes se radicalisent parce qu'ils sont pauvres. Elle est conseillée par l'extrémiste de gauche Rosa Brooks. Le procureur général Eric Holder a décidé d'ouvrir une enquête pénale contre les agents de la CIA qui ont interrogé les terroristes et veut juger de combattants illégaux ennemis devant les tribunaux civils.
Dans tous ces cas et d'innombrables autres, les hauts fonctionnaires nommés par Obama mettent en œuvre des politiques qui sont encore plus radicales et plus dangereuses que les politiques radicales et dangereuses mises en place par l’establishment de la politique étrangère de Washington. Non seulement ils affaiblissent les États-Unis et ses alliés, ils démoralisent les fonctionnaires qui se consacrent à la défense de leur pays en signalant clairement que l'administration Obama va les laisser seuls en cas de crise.
Quand un républicain occupe la Maison-Blanche, sa politique étrangère est souvent critiquée par les médias libéraux. Les présidents démocrates-radicaux, comme Woodrow Wilson ont vu leurs politiques étrangères appliquées par les Congrès Républicains.
Compte tenu des menaces que provoquent les politiques radicales d'Obama, on peut seulement espérer que, par des commissions et par d'autres moyens, les républicains au Sénat et la Chambre des représentants auront un rôle actif dans la lutte contre sa politique. S'ils sont fructueux, le peuple américain et la communauté internationale auront envers eux une grande dette.
Sur la péninsule coréenne, la Corée du Nord a bouleversé huit années de faux-fuyants avec le département d'Etat [ministère des affaires étrangeres américain] , en montrant à une équipe de scientifiques nucléaires américains sa collection de milliers de centrifugeuses de pointe installés dans son réacteur nucléaire de Yongbyon.
Et pour couronner le tout , alors que Stephen Bosworth, l'homme designé par le président américain Barack Obama pour gerer la Corée du Nord, était en train de affirmant que cette révélation n'etait pas une crise, le Nord a tiré un barrage d'artillerie sans provocation sur la Corée du Sud, ce qui démontre qu'en réalité, c'est une crise.
Mais l'administration Obama reste inchangée. Le mardi secrétaire à la Défense Robert Gates a remercié son homologue sud-coréen, Kim Tae-young, pour avoir afficher une "retenue".
Jeudi, Kim a démissionné dans la disgrâce de cette retenue.
Les États-Unis ont affirmé fortement qu'ils ne laisseront pas l'agression de la Corée du Nord rester sans réponse. Mais en pratique, sa seule réponse est d'essayer de tenter à faire participer la Corée du Nord à des ineptes pourparlers sur le désarmement multilatéral, qui n'ira nulle part, parce que la Chine soutient l'armement des Nord-Coréens.
Contrairement à ce que Obama et ses conseillers réclamation, la Chine ne partage pas l'intérêt des Etats-Unis dans la dénucléarisation de la Corée du Nord.
Par conséquent, Beijing ne lèvera pas le petit doigt pour atteindre cet objectif.
Ensuite, il ya l'Iran. Le fait désormais incontestable que Pyongyang est en train de développer des armes nucléaires à l'uranium enrichi, rend presque certain l'implication des proliférateurs hyperactifs de Pyongyang dans le programme d'armes nucléaires iranien. Il est évident que les Nord-Coréens ne se soucient pas des sanctions sur l'Iran imposés par le Conseil de sécurité. Le role présumé de la Corée du Nord dans le programme iranien d'armes nucléaires demontre l'idiotie de l'idée que ces sanctions peuvent empecher l'Iran de developper un arsenal nucléaire.
Chaque jour, alors que les régimes de Pyongyang et Téhéran renforcent leurs attitude agressives et de confrontation, il devient de plus en plus clair que la seule façon de neutraliser les menaces qu'ils représentent pour la sécurité internationale est de les renverser.
Au moins dans le cas de l'Iran, il est également clair que les perspectives de changement de régime n'ont jamais été meilleures.
Le régime iranien est en difficulté. Depuis les élections présidentielles frauduleuses il ya 17 mois, le régime a agi férocement contre ses ennemis domestiques.
Mais la dissidence n'a fait que croître. Et comme le ressentiment populaire envers le régime a augmenté, les gouvernants , allant du président Mahmoud Ahmadinejad, du dictateur suprême Ali Khamenei et des gardiens de la révolution, sont devenus effrayés de leur propre peuple. Ils ont emprisonné des rappeurs et interdit la musique occidentale. Ils ont purgé les manuels scolaires l'histoire de la Perse. Tout ce qui relève de quoi que ce soit non-islamique est considéré comme une menace.
Les membres du régime sont si effrayés par le public que cette semaine , plusieurs membres du Parlement ont essayé d'entamer une procédure de destitution contre Ahmadinejad.
Apparemment, ils espèrent que l'éviction sera suffisante pour mettre fin à l'appel du public pour un changement révolutionnaire.
Mais Khamenei est à ses côtés. Et la procédure de destitution s'est terminé aussi vite qu'elle a été commencée.Les implications politiques de tout cela sont claires.
Les États-Unis devrait détruire les installations nucléaires de l'Iran et aider le peuple iranien à renverser le régime. Mais l'administration Obama ne veut rien de tout cela.Plus tôt ce mois-ci, M. Gates a dit: «Si c'est une solution militaire, pour autant que je suis concerné, elle unira une nation divisée."
A son avis, le peuple iranien qui risque la mort pour défier le régime tous les jours, le peuple iranien qui appelle Ahmadinejad «le chimpanzé», qui appele à la mort de Khamenei de leurs toits tous les soirs, se ralliera autour du chimpanzé et du dictateur si les États-Unis ou Israël attaquent les installations nucléaires de l'Iran.
En raison de cette conception des choses , l'administration Obama maintien que les États-Unis doivent s'en tenir à sa politique de sanctions qui ont échoué et doivent continuer ses tentatives infructueuses pour conclure un accord nucléaire avec les mollahs.
Comme Michael Ledeen a noté la semaine dernière à Pajamas Media, cette affirmation passe-partout, qui n'est soutenue par aucune preuve, est ce qui passe pour de la sagesse stratégique à Washington tandis que l'Iran achève son projet nucléaire. Et ce refus des États-Unis de comprendre les implications politiques de rejet populaire du régime est ce qui amène les sages hommes et femmes du Département d'État à la conclusion que les États-Unis n'a rien à faire dans ce combat. Comme a dit le porte-parole du département d'Etat PJ Crowley au Wall Street Journal cette semaine, la tentative du parlement Iranien de destituer Ahmadinejad n'est rien de plus que le produit de «rivalités au sein du gouvernement iranien."
Ensuite, il ya le Liban. Depuis la visite d'Ahmadinejad le mois dernier, il est évident que l'Iran est maintenant le souverain du Liban et qu'il exerce son autorité sur le pays par son représentant le Hezbollah.
Les menaces sans ambages du Hezbollah de renverser le gouvernement du Premier ministre Saad Hariri si le rôle du Hezbollah dans l'assassinat de son père en 2005 est officiellement reconnu rend cette réalité tragique encore plus indéniable. Et pourtant, l'administration Obama continue de nier que l'Iran contrôle le Liban.
Un mois après la visite d'Ahmadinejad, Obama a convaincu le Congrès sortant de lever son veto sur les 100 millions de dollars en aide militaire américaine à l'armée du liban dominé par le Hezbollah, . Et les États-Unis ont convaincu Israël de renoncer à la moitié nord de la ville frontalière de Ghajar cedée aux forces de l'ONU, malgré le fait que les forces de l'ONU sont à la merci du Hezbollah.
Au milieu de toutes ces crises, Obama a maintenu sa foi dans ses deux objectifs centraux de politique étrangère: forcer Israël à se retirer sur les lignes indéfendables de l'armistice de 1949 et la reduire l'arsenal nucléaire américain en lorgnant vers le désarmement unilatéral.
Tandis que les forces du chaos et de la guerre intensifier leurs menaces et les agressions, les objectifs centraux d'Obama restent affaiblissement de l'allié le plus puissant des Etats-Unis au Moyen-Orient et de rendreles États-Unis impuissants pour décourager ou empêcher la prolifération rapide des Etats voyous qui sont en guerre avec les États-Unis et ses alliés.
Cela étant dit, la vérité est que dans la promotion de ces objectifs, Obama est en phase avec ses prédécesseurs. Aussi bien George H.W.Bush et Bill Clinton ont promulguée des réductions drastiques dans les arsenaux conventionnels et non conventionnels des États-Unis . Clinton et George W. Bush avaient adopté des politiques d'apaisement envers la Corée du Nord. En effet, Pyongyang doit son arsenal nucléaire au désir des deux présidents de se laisser berner et de ne rien faire.
En outre, la capacité de la Corée du Nord à la prolifération des armes nucléaires aux semblables de l'Iran, la Syrie et le Venezuela est due en grande partie à l'insistance de la secrétaire de l'Etat de l'époque, Condoleezza Rice, selon laquelle Israël ne devait rien dire au sujet des liens nucléaires entre la Corée du Nord l'Iran et la Syrie dans les suites de la destruction par Israël du réacteur nucléaire de construction nord-coréenne et financé par l’Iran en Syrie en Septembre 2007.
Quant à l'Iran, la tentative d’apaisement d'Obama du régime est peu différente des politiques de ses prédécesseurs. L'administration Bush a refusé de reconnaître le fait que les guerres en Afghanistan et en Irak sont à un grand degré de guerres Iraniennes par procuration.
L'administration Bush a refusé de reconnaître que la Syrie et le Hezbollah sont gérés par Téhéran et que la guerre de 2006 contre Israël n'a été rien de plus que l'expansion des guerres par procuration de l'Iran .
Obama a échoué en ce qui concerne la remise à zéro de la politique envers la Russie tout comme ses prédécesseurs.
Bush n'a rien fait, à part rogner après que la Russie ait envahi la Géorgie, un allié américain. L'administration Clinton a ouvert la voie à l'Etat du KGB de Vladimir Poutine en gaspillant l'influence massive des Etats-Unis sur la Russie post-soviétique et en permettant à Boris Eltsine et ses copains de transformer le pays en une pauvre kleptocratie .
Enfin, l'obsession d'Obama avec de nombreux cadeaux territoriaux israéliens à l'OLP a été partagé par Clinton et par le jeune Bush, en particulier après 2006. Rice - qui a comparé Israël aux racistes du Sud des Etats unis - a été sans doute aussi hostile à Israël qu'Obama.
Obama est-il vraiment pire que tout le monde ou est-il que le dernier d'une lignée de présidents américains qui n'ont aucune idée sur comment faire fonctionner une politique étrangère efficace? La réponse abrégée est qu'il est bien pire que ses prédécesseurs.
Les marges de manœuvre d'un président américain dans les affaires étrangères sont toujours très faibles. L’establishment de la politique étrangère à Washington est solidement implanté derrière des remparts et uniformément opposé à flechir sous la volonté des dirigeants élus. Les élites du département d'État, de la CIA et leurs amis dans les milieux universitaires et politiques à Washington sont également toujours insensibles à la réalité, qui, en règle générale démontre que leurs politiques sont ruineuses.
Le président dispose de deux moyens pour modifier le cap du navire de l'État. Tout d'abord, il peut utiliser son pouvoir direct. Deuxièmement, il peut nommer des personnes à des postes clés dans la bureaucratie de la politique étrangère.
Depuis son entrée en fonctions, Obama a utilisé ces deux pouvoirs à mauvais escient. Il a voyagé à travers le monde condamnant et en s'excusant pour le leadership mondial des États-Unis. Ce faisant, il a convaincu alliés et adversaire comme qu'il n'est pas un leader crédible, que personne ne peut compter sur des garanties de sécurité des États-Unis au cours de son mandat, et qu'il est possible d'attaquer les États-Unis, ses alliés et leurs intérêts en toute impunité.
L'appel d'Obama pour un monde exempt d'armes nucléaires, combinées à son attitude agressive envers l'arsenal nucléaire présumé d'Israël , son offre de désarmer l'arsenal nucléaire américain, et sa réponse inefficace à la politique nucléaire de la corde raide nord-coréenne et au projet nucléaire de l'Iran, ont servi à convaincre les pays du golfe Persique, l'Amérique du Sud et la région du Pacifique qu'ils devraient commencer à développer des armes nucléaires. En appelant au désarmement nucléaire, il a provoqué la plus grande vague d'armement nucléaire de l'histoire.
Etat donné ses propres convictions, il n'est pas étonnant que tous responsables qu'il a nommé aux postes clés de la politique étrangère sont de son (dangereux) avis . Le conseiller juridique Harold Koh au Département d'Etat estime que les États-Unis devraient subordonner ses lois, à une notion abstraite et généralement dénuées de fondement du droit international. Le Sous Secrétaire à la politique de la Défense, Michele Flournoy estime que les terroristes se radicalisent parce qu'ils sont pauvres. Elle est conseillée par l'extrémiste de gauche Rosa Brooks. Le procureur général Eric Holder a décidé d'ouvrir une enquête pénale contre les agents de la CIA qui ont interrogé les terroristes et veut juger de combattants illégaux ennemis devant les tribunaux civils.
Dans tous ces cas et d'innombrables autres, les hauts fonctionnaires nommés par Obama mettent en œuvre des politiques qui sont encore plus radicales et plus dangereuses que les politiques radicales et dangereuses mises en place par l’establishment de la politique étrangère de Washington. Non seulement ils affaiblissent les États-Unis et ses alliés, ils démoralisent les fonctionnaires qui se consacrent à la défense de leur pays en signalant clairement que l'administration Obama va les laisser seuls en cas de crise.
Quand un républicain occupe la Maison-Blanche, sa politique étrangère est souvent critiquée par les médias libéraux. Les présidents démocrates-radicaux, comme Woodrow Wilson ont vu leurs politiques étrangères appliquées par les Congrès Républicains.
Compte tenu des menaces que provoquent les politiques radicales d'Obama, on peut seulement espérer que, par des commissions et par d'autres moyens, les républicains au Sénat et la Chambre des représentants auront un rôle actif dans la lutte contre sa politique. S'ils sont fructueux, le peuple américain et la communauté internationale auront envers eux une grande dette.
Inscription à :
Articles (Atom)