Enderlin, l'homme de France2 en Israël, celui qui a personnellement monté la vidéo de la "mort" de Mohammad Al Dura, diffusée dans le monde entier le 30 Septembre 2000, a été interviewé dans Haaretz le 1er Novembre 2007, à l'occasion du septième anniversaire approximatif des événements connus sous le nom de l'affaire Al-Dura.
C'est une longue interview avec le journaliste du journal israélien HAARETZ, Adi Schwartz. Elle est publiée à la fois en hébreu et en anglais. Les deux versions sont toujours en ligne aujourd'hui: en hébreu («בואו נראה את זה שוב » : "revoyons tout ceci à nouveau") ici et en anglais (« In the footsteps of the al-Dura controversy ": " sur la piste de la controverse Al_Dura") ici .
Avec le recul, est-il possible que vous étiez trop empressé ce soir-là?
Voici la version du Haaretz de la réponse en anglais :
I don't think so. Besides, the moment I saw that nobody was asking me anything officially, I started feeling more strongly that the story was true. Que je vous traduis en français :
Je ne le pense pas. Par ailleurs, du moment où j'ai constaté qu’officiellement personne ne m'a posé de question [ndlr qu'il n'y a pas eu d'enquête] , le sentiment que l'histoire était vraie s'est renforcé.לא חושב. אם לא הייתי אומר שהילד והאב היו קורבנות לירי שבא מכיוון עמדת צה"ל, בעזה היו אומרים, איך אנדרלן לא אומר שזה צה"ל?Ce qui se traduit en français:
Je ne le pense pas. Si je n'avais pas dit que le garçon et le père ont été victimes de tirs émanant de la direction de la position israélienne, à Gaza ils auraient dit: "Comment se fait-il qu'Enderlin ne dit pas que c'était l'armée israélienne? "
Puis il explique que le fait que l'Etat d'Israël ne lui a pas posé officiellement de questions a renforcé son sentiment que l’histoire était vraie - ce qui est le seul élément de la réponse (tronquée donc), qui apparaît dans la version en anglais.
Vous comprenez ? C'est un aperçu utile sur la façon dont travaillent et pensent certains journalistes et agences de nouvelles.
Pour rappel, le 30 Septembre 2000, pendant ces événements à Gaza, Charles Enderlin se trouvait dans son bureau de Jérusalem. L'unique élément de preuve visuelle à sa disposition était une vidéo envoyée par transfert numérique par un sous-traitant à Gaza.
Sa source était un cameraman palestinien arabe, Talal Abu Rahma .
Est-ce que Charles Enderlin a scrupuleusement vérifié qu'il s'agissait d'un document authentique avant de se convaincre qu'il s'agit bien de ce que le document prétend - de l'assassinat délibéré et de sang-froid d'un enfant et la blessure due son père par les forces israéliennes?
Compte tenu de ce que la plupart d'entre nous savons de la précision relative de l'information factuelle provenant des deux côtés du conflit entre Israéliens et Arabes palestiniens, avait-il le moindre doute ? At-il cherché à vérifier de façon indépendante? Un deuxième avis ? Un troisième ? At-il parlé avec l'un des autres photographes qui étaient présent là bas au moment de la vidéo, à Netzarim? ? Ou aux agences des photographes et cameraman ?
La réponse, que nous n'avons pas vu signalée nulle part ailleurs au cours de toutes ces années (corrigez-nous s'il vous plaît si nous avons tort sur ce point), est la suivante: évidemment qu'il pensait qu'il ne pouvait pas y aller et vérifier les faits parce qu'il se disait (c'est ainsi que nous comprenons ses simples mots hébreux) : que diraient-ils alors de lui, Charles Enderlin, là-bas à Gaza?
Enderlin a déclaré au journal Ha'aretz qu'il a supposé que c'était exact - et que toute enquête de sa part, lui aurait donné une mauvaise image auprès des gens à Gaza
Ha'aretz semble avoir délibérément aseptisé cette partie de l'interview pour son auditoire anglophone et francophone, c'est pourquoi il n'a pas été remarqué par qui que ce soit jusqu'à la semaine dernière.
Nous avons vu des journalistes et des ONG croire sur parole et relayer systématiquement les accusations des arabes palestiniens de crimes israéliens, sans la moindre vérification des faits. C'est ainsi que se passent les choses en Israël et dans les territoires.
Charles Enderlin, de son propre aveu, confirmait les habitudes "deux poids, deux mesures", journalistiques, de ne pas prendre la peine de revérifier les faits lorsqu'ils cadrent si bien avec le récit anti-Israélien.
Enderlin ne pouvait ignorer les reportages Palywwodiens, les photos truquées, détournées, en bon crypto-marxiste, pour lui, il est clair que la fin justifie les moyens, accuser un soldat israélien d'avoir sciemment visé un enfant, quelle aubaine pour criminaliser l'état juif, et tant pis pour les conséquences, quelle ignominie.
RépondreSupprimer“Il n’y a pas de fumée sans feu.”
RépondreSupprimer- Si, celle produite par les fumigènes du méprisable fumiste Charles et ses enderlinades prosélytes pallywoodiennes.
Mais nous le savons nous , enderlin et les autres prêts à blasphémer Israël par peur de l'autre, par peur de l'or noir, par peur, par peur, par peur............ On s'en fout de cela, le résultat ce sont les conséquences des mensonges à l'égard d'un pays, Israël dont sa capitale toute Jérusalem et de la non Vérité , Vérité qui doit absolument éclater si nous tous nous voulons sauver notre âme!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerEnderlin est un criminel de la désinformation . Cet homme aurait certainement été un kapo pendant la seconde guerre mondiale. Ce criminel de la désinformation tuerait père et mère pour arriver à ses fins. Je ne comprends toujours pas pourquoi Israël ne lui a pas retirer la citoyenneté israélienne!
RépondreSupprimerPour ne pas en faire un martyr ! ce serait trop lui faire d'honneur. J'ai connu de triste personnage à Nancy lorsqu'il était enfant puis adolescent. Il a toujours été hautain, imbus de sa personne avec le sentiment prédominant d'être mieux que les autres. Personne ne le considérait dans notre groupe comme étant un "Mensch", on se moquait de lui très souvent. L'image même du renégat, du traitre, du tricheur. Quel gâchis ! malheureusement très lourd de conséquences !
SupprimerA Gertrude ,
RépondreSupprimerJe suis israélien et confirme mot pour mot ce que vous écrivez sur cette crapule criminelle .
Ephraïm .