Jeudi soir, le porte-parole de la présidence, Yasser Ali, a annoncé que «le président peut prendre toute décision ou mesure pour protéger la révolution (de janvier 2011)», précisant que la Chambre haute du Parlement et le comité chargé de rédiger la future Constitution, tous deux dominés par les islamistes, ne peuvent désormais être dissous. la loi
Dans l'attente d'une nouvelle Constitution, a-t-il ajouté, «les déclarations constitutionnelles, décisions et lois émises par le président sont définitives et ne sont pas sujettes à appel» . Façon, pour le premier magistrat égyptien, de se placer au-dessus de tout contrôle judiciaire. Le Figaro
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