Même les responsables de l'opposition en conviennent: les manifestations appelant à la chute du président Bachar el-Assad attirent moins de monde qu'avant le ramadan. «Ces derniers vendredis, ils étaient 10% seulement par rapport aux chiffres de la fin juillet, soit environ 30.000 personnes à travers la Syrie», affirme Haitham al-Manah, un opposant en exil à Paris, proche du soulèvement.
Selon Georges Malbrunot deux mille islmaistes libanais sont infiltrés à Homs et partout, la tentation de prendre les armes et plonger le pays dans une guerre civile est forte.
Pour l'instant ce scénario est evité. Jusqu'a quand?
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