La Maison Blanche vient d’annoncer la nomination d’un nouvel ambassadeur en Syrie – un geste plus que controversé de plus du président américain Barack Obama, qui a utilisé une faille constitutionnelle, pour cela: l’envoie de l’ambassadeur américain en Syrie s’est fait aux muscles, sans l’accord du Sénat qui est normalement obligatoire.
Le précédent ambassadeur auprès de la Syrie avait été rappelé par l’ancien président George W. Bush en 2005, en réponse à l’assassinat du Premier ministre libanais Rafik Hariri, ainsi qu’en réponse au soutien syrien au terrorisme. A l’époque tout comme aujourd’hui, il y avait de fortes indications qui prouvait que la Syrie était bien derrière le meurtre de Rafic Hariri… Et que Damas est le premier donateur d’armes au Hezbollah.Obama a utilisé un pouvoir constitutionnel qui lui permet de faire des nominations “au forceps” afin de contourner le refus du Sénat. En vertu d’une faille constitutionnelle, le président peut désigner qui il veut à partir du moment ou le Sénat n’est pas en session… Ce qui est le cas puisque tout le monde, aux Etats-Unis, est en vacance !
D’autres nominations au forceps ont également été prises comme les choix des nouveaux ambassadeurs pour l’Azerbaïdjan, de la Turquie et de la République Tchèque.
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