Le Parisien
Le président de la commission électorale Kamel Jendoubi, a par ailleurs proclamé jeudi le résultat final provisoire des élections du 23 octobre en Tunisie, neuf mois après la chute de Ben Ali. Le parti islamiste Ennahda a remporté le scrutin avec 41,47% des suffrages et obtient 90 sièges dans l'assemblée constituante de 217 élus. Il devance le Congrès pour la République (CPR, gauche nationaliste) avec 30 sièges (13,82%) et Ettakatol (gauche) avec 21 sièges (9,68%). Le numéro deux d'Ennahda, Hamadi Jebali, s'est félicité vendredi du score du parti islamiste, «Je remercie Dieu pour cette victoire, nous sommes sur la voie de la gloire!», a-t-il lancé à l'annonce des résultats.
La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton et la Commission européenne ont également félicité vendredi le parti islamiste Ennahda, promettant l'aide de l'UE sur la voie de la démocratie et de la liberté. «Nous saluons les candidats et les partis qui ont pris part à ce processus démocratique. Nous félicitons également le parti Ennahda, qui a recueilli le plus grand nombre de voix»
Moyen Orien, Islam, Islamisme, Monde Arabe, Israël, actualité, histoire, analyse
Rechercher dans ce blog
vendredi 28 octobre 2011
samedi 22 octobre 2011
Réjouissons nous: Khadafi ne reviendra plus jamais au pouvoir en Lybie.
Mouammar Khadafi était un psychopathe mégalomaniaque qui a opprimé , terrorisé pillé son pays pendant des décennies. Il a tenté de déstabiliser le monde , il a soutenu tous les mouvements terroristes connus, islamistes , panarabes , marxistes nationalistes. Sur son ordre des attentats ont été commis.
C’était un dictateur de la pire espèce sans aucune considération pour la vie humaine, sans une once de décence.
Il a persécuté les innocents, opprimé les pauvres et calomnié les justes. Il a travesti les mots liberté et justice.
Il symbolise la dégradation morale du " tiers mondialisme ". Ses complices criminels : Hugo Chavez , Robert Mugabé et les autres Kleptocrates et dictateurs ont salué en lui un membre de leur club, un leader progressiste et révolutionnaire qui rendait notre monde meilleur.
Il est temps pour l'occident de tourner leur attentions vers ses semblables qui sont bien plus dangereux car bien mieux armés et qui s'approchent de la bombe atomique.
Sa chute et la sympathie dont jouit, pour l'instant , l'Occident, la France la Grande Bretagne et les USA vont favoriser à Washington ceux qui pensent qu'il faut oeuvrer pour la chute de Bachar Al Assad .
Bachar Al Assad a démontré au monde qu'il était lui aussi un dictateur sanguinaire de la pire espèce. Le meurtre a torture sous les formes les plus ignobles sont pratiquées tous les jours pour prolonger son règne.
Les vidéo sur Youtube, les descriptions par des courageux témoins et par des journalistes demontrent sans l'ombre d'un doute au monde entier qu'il n'a pas de limites à l'abjection qu'il est prêt de commettre pour rester au pouvoir.
Tous ceux qui ont souhaité et qui se réjouissent de la chute de Khadaffi devraient souhaiter le renversement du régime de Bachar Al Assad.
Sa chute ne pourra que renforcer l'influence des USA au moyen Orient et affaiblir la théocratie Iranienne en la privant d’accès en Méditerranée et en la coupant de sa métastase-le HezbAllah du Liban.
Il y a longtemps que la diplomatie américaine y pense et jusque là elle s'est servi de la carotte pour détacher la Syrie du giron iranien. La carotte n'est manifestement plus une option. Il y a des moyens publiques et clandestins que les USA peuvent mettre en route pour rendre difficile la vie d'Assad.
C’était un dictateur de la pire espèce sans aucune considération pour la vie humaine, sans une once de décence.
Il a persécuté les innocents, opprimé les pauvres et calomnié les justes. Il a travesti les mots liberté et justice.
Il symbolise la dégradation morale du " tiers mondialisme ". Ses complices criminels : Hugo Chavez , Robert Mugabé et les autres Kleptocrates et dictateurs ont salué en lui un membre de leur club, un leader progressiste et révolutionnaire qui rendait notre monde meilleur.
Il est temps pour l'occident de tourner leur attentions vers ses semblables qui sont bien plus dangereux car bien mieux armés et qui s'approchent de la bombe atomique.
Sa chute et la sympathie dont jouit, pour l'instant , l'Occident, la France la Grande Bretagne et les USA vont favoriser à Washington ceux qui pensent qu'il faut oeuvrer pour la chute de Bachar Al Assad .
Bachar Al Assad a démontré au monde qu'il était lui aussi un dictateur sanguinaire de la pire espèce. Le meurtre a torture sous les formes les plus ignobles sont pratiquées tous les jours pour prolonger son règne.
Les vidéo sur Youtube, les descriptions par des courageux témoins et par des journalistes demontrent sans l'ombre d'un doute au monde entier qu'il n'a pas de limites à l'abjection qu'il est prêt de commettre pour rester au pouvoir.
Tous ceux qui ont souhaité et qui se réjouissent de la chute de Khadaffi devraient souhaiter le renversement du régime de Bachar Al Assad.
Sa chute ne pourra que renforcer l'influence des USA au moyen Orient et affaiblir la théocratie Iranienne en la privant d’accès en Méditerranée et en la coupant de sa métastase-le HezbAllah du Liban.
Il y a longtemps que la diplomatie américaine y pense et jusque là elle s'est servi de la carotte pour détacher la Syrie du giron iranien. La carotte n'est manifestement plus une option. Il y a des moyens publiques et clandestins que les USA peuvent mettre en route pour rendre difficile la vie d'Assad.
vendredi 21 octobre 2011
"Printemps Arabe": les dictatures peuvent revenir.
Campagne de http://www.engagementcitoyen.tn à Tunis
jeudi 20 octobre 2011
Interview égyptienne de Gilad Shalit: il n'a subi aucune pression. VRAIMENT?
Comparez la maigreur extrême de Gilad Shali avec le physique de son géolier masqué du Hamas et avec les mines réjouies et bien en chair de quelques palestiniens libérés:
http://laconscience.nuxit.net/site/presse/PALESTINIENS_LIBERES.htm |
Wafa el Biss , un monstre libéré contre Gilad Shalit : "si je le peux , je recommencerai"
Sur un sujet par EoZ
Wafaa ou Wafa , al ou el , Bass ou Biss (ici nous l’appellerons Wafaa el Biss) est une palestinienne de Gaza à qui des médecins israéliens ont sauvé la vie (brûlures sur plus de 50% du corps) et avec qui elle avait tissé des liens amicaux au fil des consultations et soins à l'Hôpital Israélien. En Juin 2005 elle est arrêtée à la sortie de Gaza avec 10 kilos d'explosifs sur elle; Elle a tenté de se faire exploser mais le dispositif était défectueux.
L'enquête déterminera que son projet était de se faire sauter dans l'hôpital au milieu de centaines de personnes;Condamnée à 12 ans de prison elle a été libérée avec plus de 1000 autres prisonniers contre Gilad Shalit .
Par ailleurs elle faisait partie des brigades des martyrs d'Al Aqsa qui est lié au mouvement soi disant "modéré" du Fatah , pas du Hamas!
Analyse des faits :
D'abord voyons la vidéo américaine de la NBC et le commentaire politiquement correct donné aux médias internationaux : " Wafaa a voulu se suicider car elle se sentait laide à cause des brûlures accidentelles - pour lesquelles elle avait été soignée dans l'hôpital israélien; elle regrette son geste elle veut vivre; sa mère qui a écrit une émouvante lettre de remerciement à l'équipe médicale israélienne qui l'a sauvée, reproche aux terroristes de l'avoir instrumentalisée"
voici l'interview de la mère de Wafaa à la télé palestinienne..
"Wafaa a TOUJOURS voulu mourir en martyr" Pas la même motivation !
En fait sa mère regrette qu'elle n'ait pas réussi dans son projet de tuer des juifs qu'elle n'a pas approuvé UNIQUEMENT parce que c'est une fille.
Pas exactement la même chose qu'a la NBC...
Rappelez vous ce que dit Wafaa à la fin du reportage de NBC: "je veux vivre (ce qui veut dire je ne veux plus commettre d'attentat suicide) je n'ai tué personne"; paroles qui laissent penser qu'elle a compris l'horreur de son geste et qu'elle a réintégré l'humanité "normale".
Hélas!
Voici ce qu'elle a dit aussitôt libérée (dans the Independent) :
"Si j'en ai l'occasion j’essayerais à nouveau de me faire exploser" et "Je ne regrette PAS ce que j'ai fait, c'est ma patrie. Ce que j’ai fait est un honneur."
"J'ai voulu mourir en martyr mais Allah ne me l'a pas accordé" "mon objectif était de tuer le plus de soldats israéliens possible"
La mère a ajouté "le Jihad est le Jihad, une chose honorable, je suis fière d'elle"
Wafaa ajoute "Vous devez savoir que la Palestine ne sera jamais liberée par des négociations . C'est la foi de la résistance"
YNET rapporte qu'elle a déclaré aux ÉCOLIERS venus l'accueillir "" J'espère que vous vous prendrez le même chemin que nous avons choisi et que, si Allah le veut, nous verrons parmi vous des martyrs »
Comment faire confiance aux déclarations de ces gens qu'on peut difficilement qualifier d'humains?
Comment ne pas frissonner à l'idée que parmi les 1027 prisonniers ils sont nombreux à vouloir récidiver et que des actes de barbarie seront commis parce que on a libéré des monstres?
Wafaa ou Wafa , al ou el , Bass ou Biss (ici nous l’appellerons Wafaa el Biss) est une palestinienne de Gaza à qui des médecins israéliens ont sauvé la vie (brûlures sur plus de 50% du corps) et avec qui elle avait tissé des liens amicaux au fil des consultations et soins à l'Hôpital Israélien. En Juin 2005 elle est arrêtée à la sortie de Gaza avec 10 kilos d'explosifs sur elle; Elle a tenté de se faire exploser mais le dispositif était défectueux.
L'enquête déterminera que son projet était de se faire sauter dans l'hôpital au milieu de centaines de personnes;Condamnée à 12 ans de prison elle a été libérée avec plus de 1000 autres prisonniers contre Gilad Shalit .
Par ailleurs elle faisait partie des brigades des martyrs d'Al Aqsa qui est lié au mouvement soi disant "modéré" du Fatah , pas du Hamas!
Analyse des faits :
D'abord voyons la vidéo américaine de la NBC et le commentaire politiquement correct donné aux médias internationaux : " Wafaa a voulu se suicider car elle se sentait laide à cause des brûlures accidentelles - pour lesquelles elle avait été soignée dans l'hôpital israélien; elle regrette son geste elle veut vivre; sa mère qui a écrit une émouvante lettre de remerciement à l'équipe médicale israélienne qui l'a sauvée, reproche aux terroristes de l'avoir instrumentalisée"
voici l'interview de la mère de Wafaa à la télé palestinienne..
"Wafaa a TOUJOURS voulu mourir en martyr" Pas la même motivation !
En fait sa mère regrette qu'elle n'ait pas réussi dans son projet de tuer des juifs qu'elle n'a pas approuvé UNIQUEMENT parce que c'est une fille.
Pas exactement la même chose qu'a la NBC...
Rappelez vous ce que dit Wafaa à la fin du reportage de NBC: "je veux vivre (ce qui veut dire je ne veux plus commettre d'attentat suicide) je n'ai tué personne"; paroles qui laissent penser qu'elle a compris l'horreur de son geste et qu'elle a réintégré l'humanité "normale".
Hélas!
Voici ce qu'elle a dit aussitôt libérée (dans the Independent) :
"Si j'en ai l'occasion j’essayerais à nouveau de me faire exploser" et "Je ne regrette PAS ce que j'ai fait, c'est ma patrie. Ce que j’ai fait est un honneur."
"J'ai voulu mourir en martyr mais Allah ne me l'a pas accordé" "mon objectif était de tuer le plus de soldats israéliens possible"
La mère a ajouté "le Jihad est le Jihad, une chose honorable, je suis fière d'elle"
Wafaa ajoute "Vous devez savoir que la Palestine ne sera jamais liberée par des négociations . C'est la foi de la résistance"
YNET rapporte qu'elle a déclaré aux ÉCOLIERS venus l'accueillir "" J'espère que vous vous prendrez le même chemin que nous avons choisi et que, si Allah le veut, nous verrons parmi vous des martyrs »
Comment faire confiance aux déclarations de ces gens qu'on peut difficilement qualifier d'humains?
Comment ne pas frissonner à l'idée que parmi les 1027 prisonniers ils sont nombreux à vouloir récidiver et que des actes de barbarie seront commis parce que on a libéré des monstres?
samedi 15 octobre 2011
Tunisie : les Islamistes et les autres s'indignent de la présentation de Dieu dans Persepolis
Atlas info
Nebil Karoui, le président de la chaîne pritée tunisienne Nessma qui a diffusé le film franco-iranien "Persepolis", a présenté mardi ses "excuses" pour une séquence du film jugée blasphématoire et qui a suscité des manifestations et des violences dimanche à Tunis.
"Je m'excuse. Je suis désolé pour tous les gens qui ont été dérangés par cette séquence, qui me heurte moi-même", a déclaré M. Karoui sur radio locale Monastir, en référence à une scène du film où Dieu est représenté comme un vieil homme barbu, ce que proscrit l'islam. "Je considère qu'avoir diffusé cette séquence est une faute", a-t-il dit. "Nous n'avons jamais eu l'intention de porter atteinte aux valeurs du sacré", a-t-il ajouté.
Le président de Nessma a cependant ajouté qu'il n'aurait "jamais imaginé que cela entraînerait un tel tollé". "Ce film a déjà été projeté intégralement dans plusieurs salles en Tunisie et n'a pas entraîné toute cette agitation", a-t-il relevé.
Après la diffusion vendredi soir en dialecte tunisien du film d'animation de Marjane Satrapi, qui raconte le régime de l’imam Khomeiny à travers les yeux d'une fillette, Nessma TV a été l'objet d'une tentative d'attaque dimanche.
Selon l’AFP, quelque 200 « salafistes » ont été dispersés avant d'avoir atteint les locaux de la chaîne à Tunis. Le film a toutefois provoqué l'indignation au-delà des cercles religieux et relancé le débat sensible sur l'identité arabo-musulmane de la Tunisie.
jeudi 13 octobre 2011
En violation de l'esprit sportif une escrimeuse tunisienne refuse d'affronter une Israelienne
Koora
Azza Besbes, la talentueuse escrimeuse tunisienne, a refusé mardi d'affronter l'israélienne Noam Mills et a perdu ainsi la finale des mondiaux d'escrime de Catane en Italie.
Azza Besbes, qui a été à deux doigts des demi-finales des Jeux Olympiques 2008, est restée passive et a volontairement subit les 5 touchés qui lui on fait perdre le combat. Noam Mills a été déclarée gagnante mais elle s'était effondrée en larmes.
Il s’agit du deuxième boycottage durant ces mondiaux, dimanche dernier, un fleurettiste iranien s’est volontairement retiré de la compétition.
mercredi 12 octobre 2011
Gilad Shalit echangé contre 1027 prisonniers palestiens
Jpost : "Israël craint que les régimes arabes aujourd'hui au pouvoir ne soient plus là demain, et en particulier que le régime égyptien - qui a été le principal médiateur dans cette crise - change dans les semaines à venir
haaretz: Shalit est devenu un symbole de la responsabilité mutuelle. En ce sens, sa libération ne signifiera pas seulement le retour d'un fils chez lui. La libération de Shalit sera l'incarnation de la solidarité israélienne."En réalité Israel n'a pas cedé sur l'essentiel : aucun des grands criminels suivants ne sera liberé selont YNET
Marwan Barghouti :cinq condamnations à vie pour instigation d'assassinats
Abdullah Barghouti :67 condamntions à vie pour la constructionde bombes qui ont tué 66 israeliens
Ahmed Saadat chef du FPLP responsable du meurtre du ministre Rehavam Zeevi
Hassan Salam du Hamas responsable de la mort de 67 Israeliens
Abbas a- Sayed cerveau de l'attenat du Park Hotel , paques 2002, qui a couté la vie de30 Israeliens
Ibrahim Hamed impliqué dans le meurtre de 82 Israeliens
Courrier International
"Le Hamas s'est montré flexible et Israël a fini par capituler",résume le Yediot Aharonot, après la conclusion d'un accord entre l'Etat hébreu et l'organisation islamiste au pouvoir dans la bande de Gaza. Cet accord, annoncé le 11 octobre, devrait permettre la libération du soldat franco-isralien Gilad Shalit, en échange de 1027 prisonniers palestiniens
mardi 11 octobre 2011
Syrie: la Chine cesse la non-ingérence et réclame des reformes
Le monde
C'est la première fois que Pékin s'écarte de sa doctrine de non-ingérence concernant la Syrie. Alors que le président syrien, Bachar Al-Assad, a affirmé dimanche 9 octobre que son régime préparait de nouvelles mesures politiques, la Chine a estimé mardi que la Syrie devait agir plus rapidement afin d'honorer ses promesses de réformes
Des palestiniens protégés par l'Armée Israélienne pour récolter des olives agressent des juifs
Arutz 7
Des Arabes sous la protection de l'armée Israélienne sont entré dans la zone de sécurité de la communauté sous prétexte de récolter leurs olives mais en réalité ils ont attaqué les résidents de Karnei Shomron.
Dans la mêlée qui a suivi, les sources locales ont informé Arutz Sheva que la police a arrêté un jeune juif plutôt que de se concentrer sur les provocations arabes. Le jeune a été emmené par la police pour interrogatoire.
Dimanche des randonneurs juifs ont également été attaqués par des jets de roches par des Palestiniens. Les Arabes étaient accompagnés par des gauchistes équipés de caméras pour photographier toute tentative par les Juifs à se défendre ou exercer des représailles.
Des Arabes sous la protection de l'armée Israélienne sont entré dans la zone de sécurité de la communauté sous prétexte de récolter leurs olives mais en réalité ils ont attaqué les résidents de Karnei Shomron.
Dans la mêlée qui a suivi, les sources locales ont informé Arutz Sheva que la police a arrêté un jeune juif plutôt que de se concentrer sur les provocations arabes. Le jeune a été emmené par la police pour interrogatoire.
Dimanche des randonneurs juifs ont également été attaqués par des jets de roches par des Palestiniens. Les Arabes étaient accompagnés par des gauchistes équipés de caméras pour photographier toute tentative par les Juifs à se défendre ou exercer des représailles.
Arabia Saoudite : un joueur colombien arrêté pour tatouage chrétien
Footgoal
ici dans la Reppublica
Emirates 24/7 |
Les joueurs ayant l'intention de rejoindre Michel Preud'homme à Al-Shabab vont devoir faire attention. La police religieuse en Arabie saoudite a officiellement interdit les joueurs d’aborder leurs tatouages. Les joueurs tatoués doivent acheter un bandage pour couvrir les bras.
L'interdiction intervient car une commission a constaté que les tatouages ont une mauvaise influence sur les jeunes. Le Colombien Juan Pablo Pino, le joueur d'Al Nasr et bien connu des fans de Charleroi, a été le premier joueur à en faire les frais. Il a été arrêté dans un centre commercial à Riyad. Pino a dû comparaître devant un comité parce qu'il faisait ses courses avec une chemise à manches courtes et ses tatouages étaient visibles.
ici dans la Reppublica
lundi 10 octobre 2011
Egypte : les réformateurs comme les autres accusent Israël d’être derrière la flambée de violence qui a coûté la vie a plus de 24 Coptes
La Diplomatie Populaire est le regroupement de tous les partis à l’origine de la révolution égyptienne. Ce regroupement permet une cohérence d’actions et d’organisation en vue des élections du mois de novembre 2011.
Moustafa El Gendy est le fondateur de la Diplomatie Populaire voici ce qu'il dit au sujet du massacre des coptes (au moins 24 tués au Caire) :
Le Premier ministre égyptien Essam Charaf a affirmé dans un communiqué que :"Ce qui se passe, ce ne sont pas des affrontements entre musulmans et chrétiens, ce sont des tentatives de provoquer le chaos et la sédition"
"Cela donne l’opportunité à nos ennemis de casser notre nation, c’est leur objectif. Mais nous ne nous soumettrons pas à ces vicieuses conspirations.”
Encore une fois: le seul ennemi que se connaît l'Egypte c'est Israël.
Donc une force obscure tente de semer le chaos . Quelle est cette force?
Le journal Égyptien Youm7 rapporte la réponse d' Abdallah al-Ashaal, candidat à la présidence, ancien ministre des affaires étrangères et ambassadeur dit que ce sont les sionistes qui sont derrière les émeutes Coptes. Le but est que les Coptes appellent les sionistes et les américains pour les protéger pour détruire le pays. Il affirme qu'il faut réprimer plus sévèrement les manifestations.
Moustafa El Gendy est le fondateur de la Diplomatie Populaire voici ce qu'il dit au sujet du massacre des coptes (au moins 24 tués au Caire) :
" A qui profitent ses crimes, sinon à l’armée et aux pays limitrophes qui n’ont aucun intérêt à voir une démocratie en Egypte?"
Décodage. "Pays limitrophes" : Israël ,le seul ennemi que se connaît l'Egypte.
Le Premier ministre égyptien Essam Charaf a affirmé dans un communiqué que :"Ce qui se passe, ce ne sont pas des affrontements entre musulmans et chrétiens, ce sont des tentatives de provoquer le chaos et la sédition"
"Cela donne l’opportunité à nos ennemis de casser notre nation, c’est leur objectif. Mais nous ne nous soumettrons pas à ces vicieuses conspirations.”
Encore une fois: le seul ennemi que se connaît l'Egypte c'est Israël.
Donc une force obscure tente de semer le chaos . Quelle est cette force?
Le journal Égyptien Youm7 rapporte la réponse d' Abdallah al-Ashaal, candidat à la présidence, ancien ministre des affaires étrangères et ambassadeur dit que ce sont les sionistes qui sont derrière les émeutes Coptes. Le but est que les Coptes appellent les sionistes et les américains pour les protéger pour détruire le pays. Il affirme qu'il faut réprimer plus sévèrement les manifestations.
Libellés :
Coptes,
Egypte,
Théorie du complot
Incendie d'une mosquée en Israël: la Police arrête un deuxième suspect
La police israélienne a annoncé dimanche l'arrestation d'un second suspect dans l'incendie d'une mosquée d'une localité du nord d'Israël, qui a déclenché une vague de condamnations. "Le suspect sera déféré devant un tribunal lundi pour prolonger sa garde à vue", a indiqué le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld, qui a n'a pas précisé son identité.
Selon les médias, il s'agit d'un colon de la Cisjordanie occupée. Le premier suspect est un étudiant de 18 ans d'une Yéchiva, un séminaire talmudique, de la colonie d'Yitzar dans le nord de la Cisjordanie, sous le coup d'une interdiction de séjour en Cisjordanie, ordonnée par Israël.
Libellés :
extrémisme,
Israël,
justice
Anti Defamation League ou ADL dénonce la diabolisation des juifs dans les journaux arabes de grand tirage
Anti Defamation League ADL
Au cours des dernières semaines, les journaux dans le monde arabe ont publié des caricatures avec thèmes et d'images typiquement anti-Israël , anti-sémite, et anti-américains , en commentant la pression palestinienne pour la reconnaissance et l'adhésion aux Nations Unies . Beaucoup de dessins diabolisent l'opposition américaine et israélienne à la tentative palestinienne, dont un certain nombre affirmer que cette position est due à la domination juive / israélienne et le contrôle des Etats-Unis et le président Obama, et certains sont assez antisémite dans leur nature.Voici un échantillon des caricatures sur la déclaration unilatérale d'indépendance qui ont paru dans les journaux à grand tirage arabe:
Ar-Rai, October 6, 2011 (Jordan).
Les ailes du papillon sont en forme de la Palestine qui EXCLUT totalement Israël
Al-Jumhuriyya, October 4, 2011 (Yemen). Written in Arabic: "United Nations".
Al-Ittihad, October 2, 2011 (U.A.E.).
Al-Watan, September 30, 2011 (Qatar).
Ar-Rai, September 30, 2011 (Jordan).
Ash-Shar, September 30, 2011 (Qatar).
Al-Ahram Weekly, September 29 – October 5, 2011 (Egypt).
Ad-Dustur, September 28, 2011 (Jordan).
As-Sabil, September 25, 2011 (Jordan).
The cartoon's headline: "American Policy in the Middle East".
Ad-Dustur, September 23, 2011 (Jordan).
Al-Watan, September 22, 2011 (Qatar).
Written on the paper: "State of Palestine".
Al-Ayyam, September 22, 2011 (Palestinian Authority).
The cartoon's headline: "The American Speech".
Tishrin, September 22, 2011 (Syria).
Written on the figure: "The Palestinian State".
Al-Ittihad, September 22, 2011 (U.A.E.).
Au cours des dernières semaines, les journaux dans le monde arabe ont publié des caricatures avec thèmes et d'images typiquement anti-Israël , anti-sémite, et anti-américains , en commentant la pression palestinienne pour la reconnaissance et l'adhésion aux Nations Unies . Beaucoup de dessins diabolisent l'opposition américaine et israélienne à la tentative palestinienne, dont un certain nombre affirmer que cette position est due à la domination juive / israélienne et le contrôle des Etats-Unis et le président Obama, et certains sont assez antisémite dans leur nature.Voici un échantillon des caricatures sur la déclaration unilatérale d'indépendance qui ont paru dans les journaux à grand tirage arabe:
Ar-Rai, October 6, 2011 (Jordan).
Les ailes du papillon sont en forme de la Palestine qui EXCLUT totalement Israël
Al-Jumhuriyya, October 4, 2011 (Yemen). Written in Arabic: "United Nations".
Al-Ittihad, October 2, 2011 (U.A.E.).
Al-Watan, September 30, 2011 (Qatar).
Ar-Rai, September 30, 2011 (Jordan).
Ash-Shar, September 30, 2011 (Qatar).
Al-Ahram Weekly, September 29 – October 5, 2011 (Egypt).
Ad-Dustur, September 28, 2011 (Jordan).
As-Sabil, September 25, 2011 (Jordan).
The cartoon's headline: "American Policy in the Middle East".
Ad-Dustur, September 23, 2011 (Jordan).
Al-Watan, September 22, 2011 (Qatar).
Written on the paper: "State of Palestine".
Al-Ayyam, September 22, 2011 (Palestinian Authority).
The cartoon's headline: "The American Speech".
Tishrin, September 22, 2011 (Syria).
Written on the figure: "The Palestinian State".
Al-Ittihad, September 22, 2011 (U.A.E.).
Egypte; La police (musulmane) tire à balles réelles sur les Coptes au Caire : au moins 24 Coptes morts
Al Masry Al Youm sur la vidéo un véhicule de la police ( il n' y a que des musulmans à bord) fonce à vive allure sur des manifestants coptes via Eoz
Ce qui suit vient du site du journal égyptien al masry al youm en auto traduction. Je n'ai pas suffisamment de temps pour le corriger. Peut être ce soir?
Un groupe de manifestants pour la plupart coptes se sont affrontés ce soir avec les forces militaires et policières dans la zone Maspiro du Caire. Nous vous apportons les mises à jour en direct des événements tels qu'ils se produisent.
00h45: Le Premier ministre Essam Sharaf annonce qu'il sera l'hôte d'une réunion d'urgence avec le "comité de gestion de crise ministérielle« le lundi pour discuter des événements de ce soir.
00h18: Des témoins au centre du Caire le rapport que les groupes de voyous attaquent des biens appartenant à des chrétiens, dont un magasin sur Mahmoud Bassiouni liqour St., près de la place Abdel Moneim Riyad, qui était le centre d'affrontements plus tôt dans la soirée.
00h00: Le Premier ministre Essam Sharaf écrit sur Facebook que des «mains invisibles complotent pour partitionner l'Egypte." [les sionistes sont partout!]
23h55: D'autres spéculations confirmant d'une répression contre les médias indépendants, Randa Aboul Azm, un journaliste de la chaîne pan-arabe par satellite Al-Arabiya raconte à Al-Masry Al-Youm que plus tôt dans la soirée un groupe d'hommes en civil a tenté de s'introduire dans leur immeuble après avoir repéré un appareil photo sur le balcon. Le propriétaire a alors dit aux producteurs d'Al-Arabiya d'arrêter de filmer ou il serait de couper l'électricité. "Ce n'est pas sans rappeler des 2 et 3 Février," lorsque le régime de Moubarak réprimé les médias indépendants en avance sur la "bataille du Chameau" attaques contre les manifestants.
23h50: la télévision d'Etat annonce que le bilan de ces affrontements a atteint 23. Il n'existe pas de spécifications sur le nombre des morts sont des soldats ou des policiers et combien sont les manifestants.
23h43: Un groupe d'hommes jusqu'à mars Qasr al-Ainy rue au centre-ville du Caire scandant «islamique, islamique,!" un slogan commun des groupes islamistes. La télévision publique a annoncé qu'un couvre-feu est en place à partir 02h00 jusqu'à 07h00.
23h26: Une bataille acharnée se poursuit sur la rue, rue Ramses, près de l'hôpital copte entre les deux groupes en civil. Un certain nombre de voitures sont en feu que les groupes jettent des cocktails Molotov et des pierres avant en arrière.
23h15: Le Conseil Ulama Choura, organe suprême de l'Egypte salafiste, les appels sur les militaires pour gérer la récente escalade de la violence «sans effusion de sang», et à force de punir les «responsables» pour eux.
22h50: Le Premier ministre Essam Sharaf états sur sa page Facebook: «. Ce qui se passe aujourd'hui n'est pas d'affrontements entre chrétiens et musulmans, mais plutôt une tentative de semer le chaos et les conflits."
22h45: Des centaines de voyous attaquent l'hôpital copte Ramsès, où des dizaines de blessés sont actuellement hospitalisés. Les voyous fracassé des voitures dans la rue, mais ont été incapables de gagner l'entrée à l'hôpital.
22h45: Un des rapports de témoins oculaires que les manifestants tentent de passer de la place Abdel Moneim Riad à la place Tahrir ont été inculpés par la police pick-up roule à grande vitesse. Le pick-up a émergé de derrière la police militaire, qui bloquaient l'entrée de Tahrir. De petits groupes de manifestants continuent de tenter de regrouper dans les rues environnantes.
22h43: La liberté et le Parti de la justice, l'aile politique des Frères musulmans, condamne les affrontements, accusant deux manifestants coptes et les militaires.
22h30: Le comité de Cabinet de gestion de crise se réunit pour débattre des affrontements Maspiro. Sur sa page Facebook, le cabinet affirme que l'Egypte ira de l'avant avec les élections législatives.
22h25: Un des rapports de témoins oculaires, la police et des policiers militaires ont le contrôle de la place Tahrir, et les manifestants semblent avoir quitté la zone. La police et la police militaire sont mêlés à des groupes de personnes en civil, dont certains sont des chants «Le peuple et l'armée sont une seule main."
22h20: Le Premier ministre Essam Sharaf dit les seuls bénéficiaires de ces affrontements Maspiro sont les ennemis de la Révolution 25 Janvier.
22h16: La Coalition Jeunesse 25 Janvier appelle à l'unité entre musulmans et chrétiens.
21h53: Le Parti social-démocrate égyptienne dénonce le conseil militaire, en disant: escalade de la violence est conçu pour interrompre transition démocratique.
21h43: Trois nouvelles à la télévision producteurs Etat égyptien dénonce sur leurs comptes Twitter de couverture de leur chaîne de télévision de ces affrontements, les accusant d '"incitation sectaire."
21h40: Al-Jazira cite une source de sécurité que de dire nombre de morts a augmenté à 22.
9:37 pm: Des témoins oculaires disent que la police militaire et les manifestants s'affrontent à la place Tahrir.
21h31: Ministère de l'Intérieur déclare 19 morts, 160 blessés dans les affrontements jusqu'ici.
21h29: ministre de l'Information Oussama Heikal blâme "forces extérieures" pour encourager les affrontements Maspiro. Heykal déclare l'état égyptien est gravement menacé "au-delà des querelles sectaires."
21h25: Des témoins oculaires disent un groupe de voyous attaquent les manifestants dans le quartier chrétien d'Alexandrie Sidi Gaber.
21h22: Ministère de l'Intérieur met nombre de morts à 12.
21h22: La police militaire a fait irruption dans les bureaux de la chaîne de télévision Canal 25 privés situés à Maspiro, et a demandé aux journalistes s'ils étaient cachés les protestataires ou s'il y avait quelqu'un à lancer des pierres du haut du balcon. Les soldats ont demandé à voir les cartes d'identité des journalistes à la chaîne de vérifier qui était chrétien, agressé physiquement certains, dont une femme qui était enceinte. Le canal cessé leurs émissions en direct, mais a déclaré qu'ils espéraient reprendre le service bientôt.
21h21: la police militaire sont à la poursuite des manifestants près du Caire du centre-ville.
21h18: les Forces de sécurité centrale se dirigent vers les manifestants de la place Tahrir, en les prenant en sandwich entre la place Abdel Moneim Riad et Tahrir. Les manifestants se cachent dans les rues de côté.
21h17: Ministère de la Santé dit 17 sont morts et plus de 55 blessés.
21h12: militante des droits de Hossam Bahgat confirme 17 morts à l'hôpital copte.
21h10: rapports de témoins oculaires indiquent que les manifestants dans le domaine de Abdel Moneim Riad Place ont repousser voyous qui leur avait été attcking. Les manifestants ont maintenant pris le contrôle des rues environnantes.
21h05: Les affrontements se poursuivent à la place Abdel Moneim Riad, près de la place Tahrir. L'armée et la police ont reculé, et les affrontements semblent maintenant être entre les personnes en civil, des deux côtés.
21h00: Prominent coptes militante Naguib Gobrail est signalé comme blessé.
20h55: Le même témoin oculaire rapporte qu'un grand groupe de «voyous» dans Mahmoud Bassiouni Street, près du Musée égyptien, sont à jeter des pierres sur les manifestants. Un manifestant est vu répondre par un cocktail Molotov. Un camion de canon de la police de l'eau est perçue percuté une barrière de Mahmoud Bassiouni Street.
20h50: Un témoin oculaire rapporte que plus tôt il a vu un grand groupe de "voyous" entrer dans la zone et d'attaquer les manifestants Maspiro copte, les battant au sérieux.
20h47: Un Al-Masry Al-Youm journaliste à la morgue de l'hôpital copte Ramsès, près Maspiro, dit qu'il ya au moins 12 corps de manifestants morts. Témoins lui dire il ya au moins trois autres corps dans une église voisine.
20h44: Les activistes sur Facebook et Twitter Slam ce qu'ils décrivent comme l' une couverture biaisée des affrontements des chaînes de télévision d'Etat.
20h40: Al-Masry Al-Youm journalistes témoins de nombreux blessés à l'hôpital copte en Abbasseya. La parole a été noyé dans le sang et les familles des victimes pleuraient.
20h34: la télévision d'Etat signale qu'il ya trois morts parmi les rangs de l'armée et la police. Il n'ya toujours pas de rapports sur le nombre des manifestants ont été tués.
20h32: sites coptes réclamation au moins quatre manifestants ont été tués lors d'affrontements avec l'armée et la police.
20h27: Un groupe de manifestants commence en marche vers la place Tahrir de la direction de Maspiro. Le gaz lacrymogène est tiré dans une tentative de disperser les manifestants.
20h25: Al-Jazeera TV rapports que les manifestations de solidarité sont en cours dans quatre autres gouvernorats, notamment à Alexandrie.
20h22: Al-Jazira cite une source militaire en disant qu'il anticipe plus de causalités sein de l'armée. Jusqu'à présent, deux soldats auraient été tués, 30 blessés.
20h20: les manifestants coptes effacé de Maspiro bâtiment extérieur. Un groupe de ce qui semble être des manifestants est vu debout à côté d'un groupe d'officiers des Forces de sécurité centrale, scandant "Allahu Akbar!" - Qui signifie «Dieu est grand!"
20h18: gaz lacrymogènes de la police le feu pour disperser les manifestants coptes Abdel Moneim Riyad région.
20h16: Le Premier ministre Essam Sharaf est titulaire d'entretiens directs avec les responsables militaires et de sécurité de «contenir la situation."
20h09: Al-Hurra TV affirme que la police militaire ont pris d'assaut son bureau du Caire recherche de manifestants coptes.
Ce qui suit vient du site du journal égyptien al masry al youm en auto traduction. Je n'ai pas suffisamment de temps pour le corriger. Peut être ce soir?
Un groupe de manifestants pour la plupart coptes se sont affrontés ce soir avec les forces militaires et policières dans la zone Maspiro du Caire. Nous vous apportons les mises à jour en direct des événements tels qu'ils se produisent.
00h45: Le Premier ministre Essam Sharaf annonce qu'il sera l'hôte d'une réunion d'urgence avec le "comité de gestion de crise ministérielle« le lundi pour discuter des événements de ce soir.
00h18: Des témoins au centre du Caire le rapport que les groupes de voyous attaquent des biens appartenant à des chrétiens, dont un magasin sur Mahmoud Bassiouni liqour St., près de la place Abdel Moneim Riyad, qui était le centre d'affrontements plus tôt dans la soirée.
00h00: Le Premier ministre Essam Sharaf écrit sur Facebook que des «mains invisibles complotent pour partitionner l'Egypte." [les sionistes sont partout!]
23h55: D'autres spéculations confirmant d'une répression contre les médias indépendants, Randa Aboul Azm, un journaliste de la chaîne pan-arabe par satellite Al-Arabiya raconte à Al-Masry Al-Youm que plus tôt dans la soirée un groupe d'hommes en civil a tenté de s'introduire dans leur immeuble après avoir repéré un appareil photo sur le balcon. Le propriétaire a alors dit aux producteurs d'Al-Arabiya d'arrêter de filmer ou il serait de couper l'électricité. "Ce n'est pas sans rappeler des 2 et 3 Février," lorsque le régime de Moubarak réprimé les médias indépendants en avance sur la "bataille du Chameau" attaques contre les manifestants.
23h50: la télévision d'Etat annonce que le bilan de ces affrontements a atteint 23. Il n'existe pas de spécifications sur le nombre des morts sont des soldats ou des policiers et combien sont les manifestants.
23h43: Un groupe d'hommes jusqu'à mars Qasr al-Ainy rue au centre-ville du Caire scandant «islamique, islamique,!" un slogan commun des groupes islamistes. La télévision publique a annoncé qu'un couvre-feu est en place à partir 02h00 jusqu'à 07h00.
23h26: Une bataille acharnée se poursuit sur la rue, rue Ramses, près de l'hôpital copte entre les deux groupes en civil. Un certain nombre de voitures sont en feu que les groupes jettent des cocktails Molotov et des pierres avant en arrière.
23h15: Le Conseil Ulama Choura, organe suprême de l'Egypte salafiste, les appels sur les militaires pour gérer la récente escalade de la violence «sans effusion de sang», et à force de punir les «responsables» pour eux.
22h50: Le Premier ministre Essam Sharaf états sur sa page Facebook: «. Ce qui se passe aujourd'hui n'est pas d'affrontements entre chrétiens et musulmans, mais plutôt une tentative de semer le chaos et les conflits."
22h45: Des centaines de voyous attaquent l'hôpital copte Ramsès, où des dizaines de blessés sont actuellement hospitalisés. Les voyous fracassé des voitures dans la rue, mais ont été incapables de gagner l'entrée à l'hôpital.
22h45: Un des rapports de témoins oculaires que les manifestants tentent de passer de la place Abdel Moneim Riad à la place Tahrir ont été inculpés par la police pick-up roule à grande vitesse. Le pick-up a émergé de derrière la police militaire, qui bloquaient l'entrée de Tahrir. De petits groupes de manifestants continuent de tenter de regrouper dans les rues environnantes.
22h43: La liberté et le Parti de la justice, l'aile politique des Frères musulmans, condamne les affrontements, accusant deux manifestants coptes et les militaires.
22h30: Le comité de Cabinet de gestion de crise se réunit pour débattre des affrontements Maspiro. Sur sa page Facebook, le cabinet affirme que l'Egypte ira de l'avant avec les élections législatives.
22h25: Un des rapports de témoins oculaires, la police et des policiers militaires ont le contrôle de la place Tahrir, et les manifestants semblent avoir quitté la zone. La police et la police militaire sont mêlés à des groupes de personnes en civil, dont certains sont des chants «Le peuple et l'armée sont une seule main."
22h20: Le Premier ministre Essam Sharaf dit les seuls bénéficiaires de ces affrontements Maspiro sont les ennemis de la Révolution 25 Janvier.
22h16: La Coalition Jeunesse 25 Janvier appelle à l'unité entre musulmans et chrétiens.
21h53: Le Parti social-démocrate égyptienne dénonce le conseil militaire, en disant: escalade de la violence est conçu pour interrompre transition démocratique.
21h43: Trois nouvelles à la télévision producteurs Etat égyptien dénonce sur leurs comptes Twitter de couverture de leur chaîne de télévision de ces affrontements, les accusant d '"incitation sectaire."
21h40: Al-Jazira cite une source de sécurité que de dire nombre de morts a augmenté à 22.
9:37 pm: Des témoins oculaires disent que la police militaire et les manifestants s'affrontent à la place Tahrir.
21h31: Ministère de l'Intérieur déclare 19 morts, 160 blessés dans les affrontements jusqu'ici.
21h29: ministre de l'Information Oussama Heikal blâme "forces extérieures" pour encourager les affrontements Maspiro. Heykal déclare l'état égyptien est gravement menacé "au-delà des querelles sectaires."
21h25: Des témoins oculaires disent un groupe de voyous attaquent les manifestants dans le quartier chrétien d'Alexandrie Sidi Gaber.
21h22: Ministère de l'Intérieur met nombre de morts à 12.
21h22: La police militaire a fait irruption dans les bureaux de la chaîne de télévision Canal 25 privés situés à Maspiro, et a demandé aux journalistes s'ils étaient cachés les protestataires ou s'il y avait quelqu'un à lancer des pierres du haut du balcon. Les soldats ont demandé à voir les cartes d'identité des journalistes à la chaîne de vérifier qui était chrétien, agressé physiquement certains, dont une femme qui était enceinte. Le canal cessé leurs émissions en direct, mais a déclaré qu'ils espéraient reprendre le service bientôt.
21h21: la police militaire sont à la poursuite des manifestants près du Caire du centre-ville.
21h18: les Forces de sécurité centrale se dirigent vers les manifestants de la place Tahrir, en les prenant en sandwich entre la place Abdel Moneim Riad et Tahrir. Les manifestants se cachent dans les rues de côté.
21h17: Ministère de la Santé dit 17 sont morts et plus de 55 blessés.
21h12: militante des droits de Hossam Bahgat confirme 17 morts à l'hôpital copte.
21h10: rapports de témoins oculaires indiquent que les manifestants dans le domaine de Abdel Moneim Riad Place ont repousser voyous qui leur avait été attcking. Les manifestants ont maintenant pris le contrôle des rues environnantes.
21h05: Les affrontements se poursuivent à la place Abdel Moneim Riad, près de la place Tahrir. L'armée et la police ont reculé, et les affrontements semblent maintenant être entre les personnes en civil, des deux côtés.
21h00: Prominent coptes militante Naguib Gobrail est signalé comme blessé.
20h55: Le même témoin oculaire rapporte qu'un grand groupe de «voyous» dans Mahmoud Bassiouni Street, près du Musée égyptien, sont à jeter des pierres sur les manifestants. Un manifestant est vu répondre par un cocktail Molotov. Un camion de canon de la police de l'eau est perçue percuté une barrière de Mahmoud Bassiouni Street.
20h50: Un témoin oculaire rapporte que plus tôt il a vu un grand groupe de "voyous" entrer dans la zone et d'attaquer les manifestants Maspiro copte, les battant au sérieux.
20h47: Un Al-Masry Al-Youm journaliste à la morgue de l'hôpital copte Ramsès, près Maspiro, dit qu'il ya au moins 12 corps de manifestants morts. Témoins lui dire il ya au moins trois autres corps dans une église voisine.
20h44: Les activistes sur Facebook et Twitter Slam ce qu'ils décrivent comme l' une couverture biaisée des affrontements des chaînes de télévision d'Etat.
20h40: Al-Masry Al-Youm journalistes témoins de nombreux blessés à l'hôpital copte en Abbasseya. La parole a été noyé dans le sang et les familles des victimes pleuraient.
20h34: la télévision d'Etat signale qu'il ya trois morts parmi les rangs de l'armée et la police. Il n'ya toujours pas de rapports sur le nombre des manifestants ont été tués.
20h32: sites coptes réclamation au moins quatre manifestants ont été tués lors d'affrontements avec l'armée et la police.
20h27: Un groupe de manifestants commence en marche vers la place Tahrir de la direction de Maspiro. Le gaz lacrymogène est tiré dans une tentative de disperser les manifestants.
20h25: Al-Jazeera TV rapports que les manifestations de solidarité sont en cours dans quatre autres gouvernorats, notamment à Alexandrie.
20h22: Al-Jazira cite une source militaire en disant qu'il anticipe plus de causalités sein de l'armée. Jusqu'à présent, deux soldats auraient été tués, 30 blessés.
20h20: les manifestants coptes effacé de Maspiro bâtiment extérieur. Un groupe de ce qui semble être des manifestants est vu debout à côté d'un groupe d'officiers des Forces de sécurité centrale, scandant "Allahu Akbar!" - Qui signifie «Dieu est grand!"
20h18: gaz lacrymogènes de la police le feu pour disperser les manifestants coptes Abdel Moneim Riyad région.
20h16: Le Premier ministre Essam Sharaf est titulaire d'entretiens directs avec les responsables militaires et de sécurité de «contenir la situation."
20h09: Al-Hurra TV affirme que la police militaire ont pris d'assaut son bureau du Caire recherche de manifestants coptes.
Soumission libanaise à l'Iran: retrait d'un film contestataire iranien du festival international d eBeyrouyh
L'Orient le Jour
Le documentaire Rouge, Blanc et Vert, du réalisateur iranien Nader Davoodi, devait être projeté dans le cadre du 11e Festival international du film de Beyrouth, qui se déroule du 5 au 13 octobre. Hier, la direction du BIFF a déclaré avoir choisi de retirer le film de son programme, après que M. Davoodi eut été interdit de se rendre au Liban par les autorités iraniennes. Datant de 2010, le documentaire, qui était prévu pour la section « Film documentaire du Moyen-Orient », traite en effet des événements violents ayant marqué les trois semaines qui ont précédé la réélection contestée du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, en juin 2009.
« Nous avons choisi de retirer le film de la programmation afin d’éviter que cette affaire ne fasse plus de bruit », a confié hier la directrice du BIFF Colette Naufal pour L’Orient-Le Jour.
Libellés :
Droit de l'Homme,
Iran,
Liban
samedi 8 octobre 2011
Meurtre d'Asher Palmer et de son fils de 18 mois : deux palestiniens arrêtés
Ouest France
Deux Palestiniens ont été arrêtés ce jeudi soir par la police israélienne. Ils sont accusés d’être impliqués dans la mort le mois dernier d’un colon israélien et son bébé de 18 mois tués dans un accident de voiture provoqué par des jets de pierres en Cisjordanie. Trois autres Palestiniens, également arrêtés, sont accusés d’avoir volé le pistolet du colon dans la voiture, avant de prendre la fuite, a-t-on poursuivi de mêmes sources.
Le père, Asher Palmer, 25 ans, un Israélo-Américain, et son fils Yonatan habitaient l’implantation de Kiryat Arba, près d’Hébron.
Libellés :
Israël,
Palestine,
terrorisme
vendredi 7 octobre 2011
Liban : lors d'une incursion, l'armée syrienne tue un fermier
L'Orient le Jour
Des forces syriennes sont de nouveau entrées hier dans l’après-midi au Liban et ont tué un Syrien vivant dans la région de la Békaa, près de la frontière.« C’est vers 14h30, dans une zone isolée appelée Saaba, près de Ersal, que les troupes syriennes sont entrées sur le territoire libanais et ont ouvert le feu sur le fermier Ali al-Khatib, un ressortissant syrien », a expliqué un responsable sécuritaire sous le couvert de l’anonymat. « Son corps est encore sur place et une enquête est en cours », a-t-il ajouté, précisant que Ali al-Khatib était marié à une Libanaise
selon www.nowlebanon.com, Ali el-Khatib serait un opposant au régime de Bachar el-Assad, qui a fui son village vers le Liban.
Rappelons que mardi, des chars de l’armée syrienne s’étaient également introduits à Ersal, tirant en direction d’une usine de batteries abandonnée, croyant qu’elle abritait des éléments armés.
Libellés :
Droit de l'Homme,
Liban,
Syrie
jeudi 6 octobre 2011
Le Maroc est il modéré? Un apostat devenu chrétien survit aux poignards et obtient l'asile aux USA
American Thinker Andrew G. Bostom
Le noble American Center for Law and Justice (ACLJ), qui a aidé la défense pour Youcef Nadarkhani , a contribué à faire obtenir l'asile aux USA à un "apostat" marocain au christianisme (un jeune homme identifié comme "Z") .
Élevé dans une «manière purement islamique traditionnelle", « Z »a eu un désir brûlant depuis l'adolescence pour être un bon musulman aux les yeux d'Allah et de rendre sa famille fière de lui.
"Toutefois, en dépit d'être envoyé à un très jeune âge à une mosquée marocaine pour étudier le Coran pendant quatre ans, Z affirme que "plus j'ai essayé de connaître Allah, plus j'ai eu peur de lui."
Inspiré par une rencontre avec un jeune chrétien d'effectuer une étude comparative du Coran et la Bible, après analyse de ce dernier, Z est devenu convaincu,
En avril 2010 près de 7.000 chefs religieux musulmans ont réclamé l'expulsion des chrétiens étrangers en signant un document qualifiant leur travail au Maroc de «viol moral» et de «terrorisme religieux».
La déclaration est arrivée au milieu d'une campagne nationale visant à diffamer les chrétiens dans le mAROC prétendument «modéré» fondés sur le "crime" de la charia de prosélytisme . Compte tenu de cet environnement moral au Maroc - déjà hostile à la liberté de conscience - l'agression brutale sur un apostat musulman au christianisme, tel que Z, n'est guère surprenante.
Le noble American Center for Law and Justice (ACLJ), qui a aidé la défense pour Youcef Nadarkhani , a contribué à faire obtenir l'asile aux USA à un "apostat" marocain au christianisme (un jeune homme identifié comme "Z") .
Élevé dans une «manière purement islamique traditionnelle", « Z »a eu un désir brûlant depuis l'adolescence pour être un bon musulman aux les yeux d'Allah et de rendre sa famille fière de lui.
"Toutefois, en dépit d'être envoyé à un très jeune âge à une mosquée marocaine pour étudier le Coran pendant quatre ans, Z affirme que "plus j'ai essayé de connaître Allah, plus j'ai eu peur de lui."
Inspiré par une rencontre avec un jeune chrétien d'effectuer une étude comparative du Coran et la Bible, après analyse de ce dernier, Z est devenu convaincu,
"... Que personne ne pourra jamais être assez bon pour mériter la faveur de Dieu, pour gagner le ciel de Dieu, parce que dès la naissance nous sommes tous prédisposés à rejeter Dieu et vivre notre vie à notre façon. C'est pourquoi il était nécessaire pour Dieu lui-même à s'incarner dans un corps humain et de mourir sur la croix, mourant de la mort que nous méritons."Par la suite, Z a renié l'Islam et a commencé à vivre dans la clandestinité en tant que chrétien. L'ACLJ décrit les événements pénibles qui ont conduit à son exil au Maroc, et à l'asile éventuelle aux États-Unis.
En 2010, quand il assistait à une église dans une maison secrète au Maroc et allait dans un café internet pour remplir son besoin d'écouter des chansons religieuses et des sermons, il a été approché par quatre hommes alors qu'il quittait sa maison. Les hommes l'ont entouré et ont dit qu'ils savaient qu'il avait quitté l'islam et déshonoré sa famille et de l'islam en devenant un kafir (infidèle). Les hommes ont poignardés Z plusieurs fois et laissé pour mort. Un des voisins de Z l'a vu couché saignant sur le sol. Il a pris Z à l'hôpital où il a subi deux interventions chirurgicales. Il n'a récupéré la conscience qu'après trois jours et a remercié Dieu de lui avoir sauver la vie.
Z est venu aux États-Unis et a contacté le ACLJ. Notre équipe juridique a déposé le dossier d'asile et en seulement quatre mois, Z a été interviewé et obtenu l'asile. Z est actuellement dans une école biblique où il ne cesse de croître dans la foi chrétienne.
En avril 2010 près de 7.000 chefs religieux musulmans ont réclamé l'expulsion des chrétiens étrangers en signant un document qualifiant leur travail au Maroc de «viol moral» et de «terrorisme religieux».
La déclaration est arrivée au milieu d'une campagne nationale visant à diffamer les chrétiens dans le mAROC prétendument «modéré» fondés sur le "crime" de la charia de prosélytisme . Compte tenu de cet environnement moral au Maroc - déjà hostile à la liberté de conscience - l'agression brutale sur un apostat musulman au christianisme, tel que Z, n'est guère surprenante.
Sur le balsphème au Pakistan
American Thinker Adam Turner
Ces jours-ci, un mot qui symbolise le Pakistan pour le reste du monde est «blasphème».
Ceci est tout à fait approprié, car s'il ya un gouvernement "moderne" dont les actions sont vraiment blasphématoire contre Dieu (ou quelque soit votre conception d'une puissance supérieure), le Pakistan est ce pays. Au Pakistan, une partie importante du gouvernement et la population sympathise et collabore avec des groupes islamistes y compris la version pakistanaise des talibans. Ainsi, les talibans et Al-Qaïda -- et Oussama ben Laden leur chef - trouvent refuge dans la région frontalières montagneuses du Pakistan . Au Pakistan, il ya un soutien du gouvernement et du peuple pour les attaques terroristes contre l'Inde voisine, comme ce qui s'est passé à Mumbai. Au Pakistan, le gouvernement a emprisonné un entrepreneur Américain et agent de la CIA pour meurtre et blasphème et l'a libéré de prison seulement après que plus de 2 millions de dollars "d'argent du sang conforme à la charia" a été versée aux familles de ses victimes.Et au Pakistan, le gouvernement applique des lois, soutenu par une vaste majorité de la population, qui justifient l'utilisation de la peine de mort pour les apostats (ceux qui quittent l'islam) et pour les blasphémateurs (ceux qui calomnient l'islam).
C'est en 2010 que l'utilisation de ses lois sur le blasphème a récemment attiré l'attention de l'Occident sur le Pakistan. On November of that year, Asia Bibi, a 45-year-old Pakistani Roman Catholic, was sentenced to death for her " blasphemy " against Islam. En Novembre de cette année, Asia Bibi, une catholique romaine pakistanaise de 45 ans, a été condamnée à mort pour " blasphème contre l'islam".
Tout en travaillant dans les champs, Mme Asia Bibi a offert de l'eau à des ouvriers agricoles compatriotes. Ses collègues musulmans ont refusé sa généreuse offre , au motif qu'en tant que chrétienne, elle avait rendue l'eau l'impure. Dans la discussion qui a suivi, chacun a défendu sa foi, puis Mme Asia Bibi a été accusée et reconnue coupable de blasphème. En attente de l'appel à la Haute Cour de Lahore, elle est actuellement détenue dans l'aile des femmes de la prison de l'État du Pendjab pakistanais - avec un prix sur sa tête de 500 000 roupies (soit 5800 $) par un imam musulman fondamentaliste - .
En raison de menaces de mort, la famille de Mme Bibi est maintenant en cachette .
Le président pakistanais Asif Ali Zardari, avait initialement annoncé son intention de pardonner Asia Bibi , mais après d'énormes manifestations de rue par des islamistes, son porte-parole a adopté une position plus ambiguë .
Les lois sur le blasphème du Pakistan sont devenues plus vicieuses au fil des ans.
A l'origine les lois sur le blasphème étaient en fait un vestige du colonialisme britannique.
Elles imposaient seulement une peine de prison allant jusqu'à deux ans pour tout dommage causé à un lieu de culte ou un objet sacré effectué «avec l'intention de ce fait d'insulter la religion de toute catégorie de personnes ou avec les connaissances que toute une catégorie de personnes est susceptible d'envisager une telle destruction, dommages ou profanation comme une insulte à leur religion [.] "Mais en 1986, au Pakistan, le dictateur d'alors, Muhammad Zia-ul-Haq, a recentré le code sur le blasphème pour protéger uniquement l'islam, en introduisant la peine de mort et en abandonnant l'exigence précédente de «l'intention de blasphémer" (c'est à dire, qu'après-1986, une personne peut avoir blasphémé par accident).
Depuis lors, plus d'un millier de cas de blasphème ont été instrtuits, de manière disproportionnée contre les minorités - à la fois musulmanes et non musulmanes - au Pakistan. Selon les groupes de droits de l'homme, les accusations de blasphème sont en hausse , avec plus de 110 cas pour la seule année 2010. Parmi les cas les plus surprenants: un écolier musulman a été arrêté et emprisonné pour avoir écrit des propos présumés blasphématoires sur le prophète Mahomet sur une feuille d'examen; en raison de différences transversales entre musulmans, un imam musulman et son fils ont été condamnés à la prison à vie pour avoir piétiné une affiche publicitaire d'anniversaire d'un Muhammad, et un médecin musulman a été arrêté pour avoir jeté la carte de visite d'un homme nommé Muhammad. Bien que personne n'a jamais été officiellement executé par le Pakistan pour blasphème, au moins 37 blasphémateurs déclarés ont été assassinés par des justiciers autoproclamés pakistanais, et il ya d'autres - comme par exemple, Qamar David - qui meurent en prison dans des circonstances suspectes.
Les lois sur le blasphème du Pakistan ont également etendu leur portée. Ces jours-ci, les islamistes font le vœu de tuer non seulement les blasphémateurs, mais aussi les opposants pakistanais aux lois sur le blasphème. Il existe déjà plusieurs exemples de ces sortes de meurtres. Le 4 Janvier 2011, Salman Taseer, le gouverneur musulman du Pendjab, a été assassiné - par son propre garde du corps - pour son soutien fort et médiatisé de la suppression de la peine de mort obligatoire pour toute personne reconnue coupable d'avoir insulté l'Islam et pour son appel à la clémence pour Mme Asia Bibi. Lorsque l'assassin de Taseer est arrivé au tribunal, il a été assailli par une foule en liesse, couvert des pétales de rose, et s'est vu offrir le soutien juridique de littéralement des milliers d'avocats. Des dizaines de milliers de Pakistanais islamistes ont également manifesté dans les rues pour lui et pour son assassinnat de Taseer.
Le 2 Mars 2011, le ministre pakistanais des Minorités Shahbaz Bhatti, un chrétien, a été abattu au Pakistan pour son opposition déclarée à la loi sur le blasphème. Ce ne fut pas une chose si surprenante, surtout pour le ministre Bhatti, qui avait délibérément choisi de ne pas se marier ni de fonder une famille parce que "je sais que tôt ou tard la balle d'un assassin va me trouver, ce serait injuste pour une femme et mes enfants ». Il avait même produit une vidéo a diffuser dans le cas de son assassinnat. Aussi, bien qu'il n'a pas été assassiné, un homme politique britannique d'origine pakistanaise qui s'est rendu à au Pakistan en 2010 pour exhorter la libération d'Asia Bibi a été menacé pour ses actions.
Récemment, les islamistes du Pakistan ont fait monter les enchères une fois de plus, et ils exigent maintenant la punition des non-Pakistanais vivant à l'extérieur du Pakistan qui blasphèment contre l'Islam. En réponse à un autodafé en Mars 2011 d'un Coran par un pasteur américain marginal aux Etats-Unis, une foule de fondamentalistes islamiques au Pakistan a attaqué des lieux de culte chrétiens, profané plusieurs copies de la Bible, et a tué deux chrétiens pakistanais, tout en exigeant que les gouvernement américain condamne le pasteur à la mort .
Par ailleurs, également en réponse à cette même destruction et profanation du Coran, le ministre de l'Intérieur pakistanais a envoyé une lettre au Pape Benoît XVI et au secrétaire général d'Interpol Ronald Nobel, dans lequel il les appelle à condamner actes et de prendre des mesures contre l'instigateur.
Le Sénat pakistanais a adopté à l'unanimité une résolution exhortant les États-Unis d'amener le pasteur devant la justice, et l'ambassadeur pakistanais à l'Organisation de la Conférence islamique (OIC) a proposé que le groupe de l'OCI écrive une lettre au Secrétaire général de l'ONU en lui demandant d'émettre une condamnation ferme et de «prendre des mesures concrètes pour protéger et promouvoir le multiculturalisme la paix et l'harmonie dans le monde."
But, as foreigners and non-Muslims, we had better not even think about criticizing Pakistan and its use of blasphemy laws. Mais, en tant qu'étrangers et non-musulmans, nous ferions mieux de ne même pas penser à critiquer le Pakistan ni son utilisation des lois sur le blasphème.Lorsque la Chambre des représentants américains a adopté une résolution un peu critique sur ces lois, les deputés pakistanais ont condamné cette résolution , en disant que les États-Unis essayaient de créer des dissensions entre musulmans et chrétiens au Pakistan et ont exigé que l'ONU prenne note de cette violation de la liberté religieuse des musulmans.
Comme a tonné un politicien pakistanais, "l'honneur du Saint Prophète fait partie de la foi des musulmans, aucune puissance étrangère ne pourrait être autorisée à interférer ou faire pression sur tout pays musulman sur cette question."
Critiquer une autre nation pour l'utilisation de lois sur le blasphème - que c'est blasphématoire!
Ces jours-ci, un mot qui symbolise le Pakistan pour le reste du monde est «blasphème».
Ceci est tout à fait approprié, car s'il ya un gouvernement "moderne" dont les actions sont vraiment blasphématoire contre Dieu (ou quelque soit votre conception d'une puissance supérieure), le Pakistan est ce pays. Au Pakistan, une partie importante du gouvernement et la population sympathise et collabore avec des groupes islamistes y compris la version pakistanaise des talibans. Ainsi, les talibans et Al-Qaïda -- et Oussama ben Laden leur chef - trouvent refuge dans la région frontalières montagneuses du Pakistan . Au Pakistan, il ya un soutien du gouvernement et du peuple pour les attaques terroristes contre l'Inde voisine, comme ce qui s'est passé à Mumbai. Au Pakistan, le gouvernement a emprisonné un entrepreneur Américain et agent de la CIA pour meurtre et blasphème et l'a libéré de prison seulement après que plus de 2 millions de dollars "d'argent du sang conforme à la charia" a été versée aux familles de ses victimes.Et au Pakistan, le gouvernement applique des lois, soutenu par une vaste majorité de la population, qui justifient l'utilisation de la peine de mort pour les apostats (ceux qui quittent l'islam) et pour les blasphémateurs (ceux qui calomnient l'islam).
C'est en 2010 que l'utilisation de ses lois sur le blasphème a récemment attiré l'attention de l'Occident sur le Pakistan. On November of that year, Asia Bibi, a 45-year-old Pakistani Roman Catholic, was sentenced to death for her " blasphemy " against Islam. En Novembre de cette année, Asia Bibi, une catholique romaine pakistanaise de 45 ans, a été condamnée à mort pour " blasphème contre l'islam".
Tout en travaillant dans les champs, Mme Asia Bibi a offert de l'eau à des ouvriers agricoles compatriotes. Ses collègues musulmans ont refusé sa généreuse offre , au motif qu'en tant que chrétienne, elle avait rendue l'eau l'impure. Dans la discussion qui a suivi, chacun a défendu sa foi, puis Mme Asia Bibi a été accusée et reconnue coupable de blasphème. En attente de l'appel à la Haute Cour de Lahore, elle est actuellement détenue dans l'aile des femmes de la prison de l'État du Pendjab pakistanais - avec un prix sur sa tête de 500 000 roupies (soit 5800 $) par un imam musulman fondamentaliste - .
En raison de menaces de mort, la famille de Mme Bibi est maintenant en cachette .
Le président pakistanais Asif Ali Zardari, avait initialement annoncé son intention de pardonner Asia Bibi , mais après d'énormes manifestations de rue par des islamistes, son porte-parole a adopté une position plus ambiguë .
Les lois sur le blasphème du Pakistan sont devenues plus vicieuses au fil des ans.
A l'origine les lois sur le blasphème étaient en fait un vestige du colonialisme britannique.
Elles imposaient seulement une peine de prison allant jusqu'à deux ans pour tout dommage causé à un lieu de culte ou un objet sacré effectué «avec l'intention de ce fait d'insulter la religion de toute catégorie de personnes ou avec les connaissances que toute une catégorie de personnes est susceptible d'envisager une telle destruction, dommages ou profanation comme une insulte à leur religion [.] "Mais en 1986, au Pakistan, le dictateur d'alors, Muhammad Zia-ul-Haq, a recentré le code sur le blasphème pour protéger uniquement l'islam, en introduisant la peine de mort et en abandonnant l'exigence précédente de «l'intention de blasphémer" (c'est à dire, qu'après-1986, une personne peut avoir blasphémé par accident).
Depuis lors, plus d'un millier de cas de blasphème ont été instrtuits, de manière disproportionnée contre les minorités - à la fois musulmanes et non musulmanes - au Pakistan. Selon les groupes de droits de l'homme, les accusations de blasphème sont en hausse , avec plus de 110 cas pour la seule année 2010. Parmi les cas les plus surprenants: un écolier musulman a été arrêté et emprisonné pour avoir écrit des propos présumés blasphématoires sur le prophète Mahomet sur une feuille d'examen; en raison de différences transversales entre musulmans, un imam musulman et son fils ont été condamnés à la prison à vie pour avoir piétiné une affiche publicitaire d'anniversaire d'un Muhammad, et un médecin musulman a été arrêté pour avoir jeté la carte de visite d'un homme nommé Muhammad. Bien que personne n'a jamais été officiellement executé par le Pakistan pour blasphème, au moins 37 blasphémateurs déclarés ont été assassinés par des justiciers autoproclamés pakistanais, et il ya d'autres - comme par exemple, Qamar David - qui meurent en prison dans des circonstances suspectes.
Les lois sur le blasphème du Pakistan ont également etendu leur portée. Ces jours-ci, les islamistes font le vœu de tuer non seulement les blasphémateurs, mais aussi les opposants pakistanais aux lois sur le blasphème. Il existe déjà plusieurs exemples de ces sortes de meurtres. Le 4 Janvier 2011, Salman Taseer, le gouverneur musulman du Pendjab, a été assassiné - par son propre garde du corps - pour son soutien fort et médiatisé de la suppression de la peine de mort obligatoire pour toute personne reconnue coupable d'avoir insulté l'Islam et pour son appel à la clémence pour Mme Asia Bibi. Lorsque l'assassin de Taseer est arrivé au tribunal, il a été assailli par une foule en liesse, couvert des pétales de rose, et s'est vu offrir le soutien juridique de littéralement des milliers d'avocats. Des dizaines de milliers de Pakistanais islamistes ont également manifesté dans les rues pour lui et pour son assassinnat de Taseer.
Le 2 Mars 2011, le ministre pakistanais des Minorités Shahbaz Bhatti, un chrétien, a été abattu au Pakistan pour son opposition déclarée à la loi sur le blasphème. Ce ne fut pas une chose si surprenante, surtout pour le ministre Bhatti, qui avait délibérément choisi de ne pas se marier ni de fonder une famille parce que "je sais que tôt ou tard la balle d'un assassin va me trouver, ce serait injuste pour une femme et mes enfants ». Il avait même produit une vidéo a diffuser dans le cas de son assassinnat. Aussi, bien qu'il n'a pas été assassiné, un homme politique britannique d'origine pakistanaise qui s'est rendu à au Pakistan en 2010 pour exhorter la libération d'Asia Bibi a été menacé pour ses actions.
Récemment, les islamistes du Pakistan ont fait monter les enchères une fois de plus, et ils exigent maintenant la punition des non-Pakistanais vivant à l'extérieur du Pakistan qui blasphèment contre l'Islam. En réponse à un autodafé en Mars 2011 d'un Coran par un pasteur américain marginal aux Etats-Unis, une foule de fondamentalistes islamiques au Pakistan a attaqué des lieux de culte chrétiens, profané plusieurs copies de la Bible, et a tué deux chrétiens pakistanais, tout en exigeant que les gouvernement américain condamne le pasteur à la mort .
Par ailleurs, également en réponse à cette même destruction et profanation du Coran, le ministre de l'Intérieur pakistanais a envoyé une lettre au Pape Benoît XVI et au secrétaire général d'Interpol Ronald Nobel, dans lequel il les appelle à condamner actes et de prendre des mesures contre l'instigateur.
Le Sénat pakistanais a adopté à l'unanimité une résolution exhortant les États-Unis d'amener le pasteur devant la justice, et l'ambassadeur pakistanais à l'Organisation de la Conférence islamique (OIC) a proposé que le groupe de l'OCI écrive une lettre au Secrétaire général de l'ONU en lui demandant d'émettre une condamnation ferme et de «prendre des mesures concrètes pour protéger et promouvoir le multiculturalisme la paix et l'harmonie dans le monde."
But, as foreigners and non-Muslims, we had better not even think about criticizing Pakistan and its use of blasphemy laws. Mais, en tant qu'étrangers et non-musulmans, nous ferions mieux de ne même pas penser à critiquer le Pakistan ni son utilisation des lois sur le blasphème.Lorsque la Chambre des représentants américains a adopté une résolution un peu critique sur ces lois, les deputés pakistanais ont condamné cette résolution , en disant que les États-Unis essayaient de créer des dissensions entre musulmans et chrétiens au Pakistan et ont exigé que l'ONU prenne note de cette violation de la liberté religieuse des musulmans.
Comme a tonné un politicien pakistanais, "l'honneur du Saint Prophète fait partie de la foi des musulmans, aucune puissance étrangère ne pourrait être autorisée à interférer ou faire pression sur tout pays musulman sur cette question."
Critiquer une autre nation pour l'utilisation de lois sur le blasphème - que c'est blasphématoire!
Soudan:une nouvelle alliance contre Omar el Bechir
KHARTOUM (AFP) - Un important chef rebelle du Darfour (Soudan), Khalil Ibrahim, de retour d'exil en Libye, a affirmé à l'AFP qu'il oeuvrait avec d'autres mouvements rebelles du pays pour renverser le régime de Khartoum.
"Je suis revenu pour me battre pour les droits du peuple dans toutes les régions du Soudan ... et pour mettre en place un programme pour la prochaine étape dans la résistance à ce régime tyrannique", a indiqué le leader dans une réponse écrite à des questions envoyées par courriel. "Nous sommes en communication avec toutes les parties (rebelles)... et nous essayons d'organiser une alliance pour renverser le régime" du président Omar el-Béchir.
Syrie : la femme tuée et mutilée en détension n'est pas Zaïnab al-Hosni
La télévision publique syrienne a diffusé un entretien d'une jeune fille présentée comme Zaïnab al-Hosni pour démentir les informations sur la mort brutale de cette Syrienne devenue l'un des symboles de la répression sanglante exercée par le régime.
L'histoire de cette jeune fille, devenue le symbole des victimes de la répression du régime de Bachar al-Assad, a fait en septembre le tour du monde, après l'annonce par des organisations internationales des droits de l'Homme de la découverte de son corps décapité et démembré.
"J'ai fui ma famille car mes frères me battaient. Mes parents ne savent pas où je suis", a affirmé mercredi soir cette jeune fille présentée comme Zaïnab, à la télévision. Elle était habillée en noire, un voile sur la tête. Elle a montré une carte d'identité avec le nom de Zaïnab al-Hosni.
"Ils ne savent pas que je suis vivante. J'ai appris ma mort par les chaînes de télévision qui ont annoncé que la Sécurité syrienne m'avait arrêtée et brûlé et découpé mon corps", a-t-elle ajouté.
"La famille de Zaïnab al-Hosni a confirmé que la jeune femme apparue à la télévision syrienne était bien Zaïnab al-Hosni", ont annoncé mercredi soir les organisations de défense des droits de l'Homme Amnesty international (AI) et Human Rights Watch (HRW) dans un communiqué.
L'identité de la victime enterrée par la famille al-Hosni demeure inconnue, et les deux organisations ont appelé à une enquête indépendante pour déterminer qui elle est.
AI et HRW, qui ont dénoncé les exécutions de détenus en Syrie, avait cité le 23 septembre le cas de Zaïnab al-Hosni, 18 ans, arrêtée à Homs (centre).
Les deux organisations "regrettent cette erreur d'identification" et soulignent vérifier leurs informations avec de multiples sources indépendantes, affirmant que l'erreur est venue de la famille qui pensait effectivement avoir reconnu le corps de Zaïnab.
Elles ont demandé aux autorités de pouvoir se rendre en Syrie pour pouvoir enquêter sur ce cas et sur d'autres suspects, soulignant être interdites d'accès depuis le début de l'insurrection populaire en mars.
Amnesty avait précédemment annoncé que la jeune fille avait été enlevée par des hommes en civil le 27 juillet, apparemment pour faire pression sur son frère Mohammad pour qu'il se rende. Agé de 27 ans, il participait à l'organisation de manifestations à Homs.
Le 13 septembre, leurs parents ont été convoqués dans un hôpital militaire pour récupérer le corps de Mohammad, lui-même arrêté, apparemment torturé, et mort en détention. Ils ont alors découvert un corps, mutilé et défiguré, qu'ils ont cru être celui de Zaïnab mais n'ont pas été autorisés à le récupérer qu'après avoir signé un document selon lequel leurs enfants ont été tués par une "bande armée".
Le corps avait été décapité, démembré et écorché, selon Amnesty et d'autres ONG internationales.
La Turquie appliquera des sanctions contre la Syrie et fera des manoeuvres militaires à leur frontière commune
20 minutes
La Turquie imposera des sanctions à la Syrie malgré le rejet au Conseil de sécurité de l'Onu d'une résolution qui aurait ouvert la voie à de telles mesures internationales contre Damas, a déclaré mercredi le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
Les vetos russe et chinois ont empêché mardi l'adoption par le Conseil de sécurité d'une résolution, présentée par les Occidentaux, condamnant la répression en Syrie.
Recep Tayyip Erdogan a précisé qu'il annoncerait la nature de ces sanctions dans les prochains jours, après une visite dans un camp de réfugiés syriens dans le sud de la Turquie, dans la province de Hatay où l'armée turque va mener des manoeuvres ces prochains jours.
Incursion des chars syriens au Liban: aucune réaction du gouvernement pro syrien
Le chef du parti des Forces libanaises, Samir Geagea, a critiqué aujourd’hui dans un communiqué l’incursion de l’armée syrienne au Liban nord, mardi, alors que "l’armée libanaise entretient de bonnes relations avec l’armée syrienne". L’armée syrienne aurait du, pour respecter la souveraineté libanaise, prévenir l’armée libanaise de tout incident qui a lieu à la frontière et la laisser s’en occuper, a-t-il ajouté.
M. Geagea a dénoncé le comportement de l’armée syrienne qui pénètre avec des chars dans des villages libanais et qui entre dans des maisons, dans les régions frontalières de la Syrie au Liban nord, sans expliquer les motifs de ces actes.
Il a appelé le gouvernement à s’opposer fermement à ce type de comportement, à travers le ministère des Affaires étrangères ou l’ambassade syrienne au Liban, pour éviter qu’il ne se répète. "Sinon, le gouvernement n'aura pas fait son devoir" et n'aura pas assuré la sécurité de ses citoyens, "comme si la dignité nationale et la souveraineté" étaient inexistantes, a-t-il indiqué.
Il est nécessaire que l’armée libanaise prenne position à la frontière, dans les secteurs où l’armée syrienne est en train de pénétrer au Liban, a souligné M. Geagea.
M. Geagea a dénoncé le comportement de l’armée syrienne qui pénètre avec des chars dans des villages libanais et qui entre dans des maisons, dans les régions frontalières de la Syrie au Liban nord, sans expliquer les motifs de ces actes.
Il a appelé le gouvernement à s’opposer fermement à ce type de comportement, à travers le ministère des Affaires étrangères ou l’ambassade syrienne au Liban, pour éviter qu’il ne se répète. "Sinon, le gouvernement n'aura pas fait son devoir" et n'aura pas assuré la sécurité de ses citoyens, "comme si la dignité nationale et la souveraineté" étaient inexistantes, a-t-il indiqué.
Il est nécessaire que l’armée libanaise prenne position à la frontière, dans les secteurs où l’armée syrienne est en train de pénétrer au Liban, a souligné M. Geagea.
Jordanie: Human Rights Watch rend un rapport accablant sur la situation des employées de maison
Ce rapport, basé sur des recherches menées en Jordanie en 2009 et 2010, rend compte des abus subis par une grande partie des 88 000 employées de maison indonésiennes (40 000), sri-lankaises (30 000) et philippines (28 000) qui sont les trois groupes les plus importants des employées de maison en Jordanie.
Il en ressort que systématiquement, leurs passeports sont confisqués par les employeurs dés l'arrivée en Jordanie .
La grande majorité des employées sont confinées dans les maisons 24h/24 et 7jours/7. De plus la LOI jordanienne interdit à une employée de quitter la maison sans la permission de son employeur. HRW estime qu'environ 50 000 femmes sont de ce fait prisonnières ce qui équivaut à la totalité des places de prison du royame.
Elles travaillent entre 16 et 20 heures par jour 7jours/7 sans aucun congé.
Elles sont souvent battues maltraitées , mal nourries, privées de l'accés aux soins.
Elles n'ont aucune intimité - elles dorment dans la cuisine, le salon, un couloir ou sur le balcon.
Leur salaire est d'environ 200 $ par mois.
Souvent elles ne sont pas payées et forcées de travailler aprés l'expiration de leur contrat de deux ans.
Le nombre des cas de malatraitance est grand : brutalité , coups, brulures avec le fer à repasser, coups , agressions sexuelles et est sous estimé car comme elles n'ont pas le droit de quitter la maison sans permission donc elles ne peuvent se plaindre.
De plus lorsqu'elles s'evadent elles sont souvent arretées par la police et renvoyées chez leur bourreaux. C'est aussi souvent le cas lorsqu'elles cherchent refuge auprés des ambassades de leurs pays.
Il en ressort que systématiquement, leurs passeports sont confisqués par les employeurs dés l'arrivée en Jordanie .
La grande majorité des employées sont confinées dans les maisons 24h/24 et 7jours/7. De plus la LOI jordanienne interdit à une employée de quitter la maison sans la permission de son employeur. HRW estime qu'environ 50 000 femmes sont de ce fait prisonnières ce qui équivaut à la totalité des places de prison du royame.
Elles travaillent entre 16 et 20 heures par jour 7jours/7 sans aucun congé.
Elles sont souvent battues maltraitées , mal nourries, privées de l'accés aux soins.
Elles n'ont aucune intimité - elles dorment dans la cuisine, le salon, un couloir ou sur le balcon.
Leur salaire est d'environ 200 $ par mois.
Souvent elles ne sont pas payées et forcées de travailler aprés l'expiration de leur contrat de deux ans.
Le nombre des cas de malatraitance est grand : brutalité , coups, brulures avec le fer à repasser, coups , agressions sexuelles et est sous estimé car comme elles n'ont pas le droit de quitter la maison sans permission donc elles ne peuvent se plaindre.
De plus lorsqu'elles s'evadent elles sont souvent arretées par la police et renvoyées chez leur bourreaux. C'est aussi souvent le cas lorsqu'elles cherchent refuge auprés des ambassades de leurs pays.
mercredi 5 octobre 2011
Le Hamas fait le bilan élogieux d’onze années de terrorisme
Rédigé par JSS le Oct 4th, 2011
Le site Web du Palestine Times a publié un article sur les réalisations terroristes du Hamas depuis le début de la seconde intifada armée en septembre 2000.
Ils se vantent particulièrement de trois actes spécifiques de terrorisme:
4303 attaques terroristes
61 attentats-suicide
24 tentatives pour capturer des Israéliens
423 attentats à la bombe
90 attaques de tireurs embusqués
146 embuscades
De plus, ils prétendent que 8085 projectiles ont été tirés depuis la bande de Gaza, dont 2627 étaient des roquettes Qassam et 303 roquettes Grad.
Ils affirment avoir tué 910 “sionistes” pendant cette période, tout en perdant 1697 de leurs membres. Ces 1697 morts non-civils n’incluent pas les terroristes des autres factions terroristes comme le Jihad Islamique par exemple.
Enfin, l’article fait ressortir clairement que le Hamas considère que la seconde intifada est encore en marche aujourd’hui !
Avec Elder Of Ziyon - Adaptation française JSSNews
Ils se vantent particulièrement de trois actes spécifiques de terrorisme:
Le massacre de la yeshiva Merkaz Harav tuant huit étudiants
L’attaque par un missile guidé avec laser, sur un bus scolaire d’enfants juifs, tuant un écolier d’une dizaine d’année (ils prétendent qu’il s’agit d’un soldat)
Le massacre du Park Hôtel lors d’une fête de Pâques, tuant 30 personnes, essentiellement des retraités (Le Hamas gonfle le nombre de victimes à 36.)
L’article dit que, dans les onze dernières années, le Hamas a commis :L’attaque par un missile guidé avec laser, sur un bus scolaire d’enfants juifs, tuant un écolier d’une dizaine d’année (ils prétendent qu’il s’agit d’un soldat)
Le massacre du Park Hôtel lors d’une fête de Pâques, tuant 30 personnes, essentiellement des retraités (Le Hamas gonfle le nombre de victimes à 36.)
4303 attaques terroristes
61 attentats-suicide
24 tentatives pour capturer des Israéliens
423 attentats à la bombe
90 attaques de tireurs embusqués
146 embuscades
De plus, ils prétendent que 8085 projectiles ont été tirés depuis la bande de Gaza, dont 2627 étaient des roquettes Qassam et 303 roquettes Grad.
Ils affirment avoir tué 910 “sionistes” pendant cette période, tout en perdant 1697 de leurs membres. Ces 1697 morts non-civils n’incluent pas les terroristes des autres factions terroristes comme le Jihad Islamique par exemple.
Enfin, l’article fait ressortir clairement que le Hamas considère que la seconde intifada est encore en marche aujourd’hui !
Avec Elder Of Ziyon - Adaptation française JSSNews
lundi 3 octobre 2011
Libye : 10 000 (oui, DIX MILLE) Missiles sol-air ont disparu
Le Nouvel Observateur publie cet article que je vous invite à lire en entier:
La trace d'au moins 10.000 missiles sol-air a été perdue en Libye, a estimé un haut responsable militaire de l'Otan, cité dimanche 2 octobre par le site internet de l'hebdomadaire allemand "Der Spiegel".
Une information qui confirme ce qu'écrivait Le Nouvel Observateur dès le 14 septembre dernier : notre envoyé spécial en Libye, Jean-Paul Mari, avait fait état de l'absence totale de surveillance des arsenaux libyens. Des montagnes d'armes à la pointe de la technologie, laissées à la disposition des pillards dans l'indifférence générale.
Il s'agit pour l'essentiel de missiles SAM 7:
Sam 7 Stela-2 launcher | ||
Strela-2 (SA 7a) | Strela-2M (SA 7b) | |
Max range | 3,200 metres | 4,200 metres |
Min range | 800 metres | 800 metres |
Max altitude | 2,000 metres | 2,000 metres |
Min altitude | 50 metres | 30-50 metres |
Max speed of target | 792 km/h | 936 km/h |
Max speed of missile | 1386 km/h | 2088 km/h |
Operator | 1 person | 1 person |
Actes de barbarie en Syrie:Zaïnab al Hosni la soeur d'un militant assassinée et mutilée par les forces de "sécurité"
Europe1
Zaïnab al Hosni |
Une adolescente syrienne, dont le corps mutilé a été découvert par hasard par ses proches dans une morgue où ils venaient identifier le corps de son frère, est vraisemblablement la première femme tuée en détention pendant la contestation en Syrie, a déclaré vendredi Amnesty International. Zaïnab al Hosni, 18 ans, a été décapitée, démembrée et écorchée, selon le groupe de défense des droits de l'homme.
La jeune femme avait été enlevée en juillet par des hommes soupçonnés d'appartenir aux forces de sécurité. Il s'agissait apparemment de faire pression sur son frère Mohammad Dib al Hosni, un militant, afin qu'il se rende, a expliqué Amnesty.
La Syrie glisse vers la guerre civile: assassinat du fils du grand mufti sunnite grand allié d'Assad
Ria Novosti
Le Grand Mufti (sunnite) de Syrie, Ahmad Badr el-Dine Hassoun, est considéré comme un des alliés les plus proches du leader syrien. Son fils Sariah Hassoun, a été tué lundi à proximité de l'université d'Ebla dans le nord-ouest du pays, rapporte l'agence d'information syrienne SANA.
Selon l'agence, Sariah Hassoun et son professeur Mohamed al-Omar ont été attaqués par un groupe de combattants armés alors qu'ils se dirigeaient ensemble à l'université. D'après un proche de M.Hassoun, celui-ci a reçu deux balles dont une dans la poitrine et l'autre au niveau de ventre, avant de décéder à l'hôpital de la ville d'Idleb. L'enseignant a été également tué dans l'attaque.
Ces derniers jours, les opposants au régime syrien ont entrepris plusieurs tentatives d'assassinat visant les partisans du président Bachar el-Assad, rappelle l'agence SANA.
dimanche 2 octobre 2011
Sous la pression, la Jordanie suspend une loi criminalisant les allégations de corruption
AMMAN (AFP) - Près de 4.000 Jordaniens ont manifesté vendredi dans le centre d'Amman pour réclamer des "réformes réelles" et dénoncer un projet de loi controversé criminalisant les allégations de corruption.
"La loi anti-corruption protège les corrompus", "Nous voulons des réformes réelles", "Dégage Bakhit (le Premier ministre Maarouf Bakhit), nous voulons un gouvernement élu", ont scandé les manifestants, rassemblés à l'appel des Frères musulmans.
D'autres manifestations pour réclamer des réformes et dénoncer la corruption ont aussi rassemblé des centaines de personnes à Irbid, Jerash (nord), Karak et Dhiban (sud).
Dans un geste d'appaisement, le sénat avait reporté sine die le débat prévu jeudi sur la loi controversée approuvée mardi par 56 voix sur 96 députés présents (parmi les 120 membres de la Chambre basse). Le projet de loi est donc en suspens jusqu'à la prochaine session parlementaire prévue le 26 octobre.
Selon le texte controversé, "toute personne qui propage des rumeurs, ou attribue publiquement à tort à une personne des actes de corruption (...) affectant sa réputation, sa dignité et constituant une diffamation, sera sanctionnée par une amende de 30.000 à 60.000 dinars jordaniens (43.000 à 85.000 dollars)".
Le royaume hachémite est le théâtre depuis janvier de manifestations en faveur de réformes politiques et économiques et de l'éradication de la corruption. Ce mouvement n'a toutefois aucune mesure avec celui qui a secoué l'Egypte en début d'année, et encore moins avec celui réprimé dans le sang en Syrie.
"La loi anti-corruption protège les corrompus", "Nous voulons des réformes réelles", "Dégage Bakhit (le Premier ministre Maarouf Bakhit), nous voulons un gouvernement élu", ont scandé les manifestants, rassemblés à l'appel des Frères musulmans.
D'autres manifestations pour réclamer des réformes et dénoncer la corruption ont aussi rassemblé des centaines de personnes à Irbid, Jerash (nord), Karak et Dhiban (sud).
Dans un geste d'appaisement, le sénat avait reporté sine die le débat prévu jeudi sur la loi controversée approuvée mardi par 56 voix sur 96 députés présents (parmi les 120 membres de la Chambre basse). Le projet de loi est donc en suspens jusqu'à la prochaine session parlementaire prévue le 26 octobre.
Selon le texte controversé, "toute personne qui propage des rumeurs, ou attribue publiquement à tort à une personne des actes de corruption (...) affectant sa réputation, sa dignité et constituant une diffamation, sera sanctionnée par une amende de 30.000 à 60.000 dinars jordaniens (43.000 à 85.000 dollars)".
Le royaume hachémite est le théâtre depuis janvier de manifestations en faveur de réformes politiques et économiques et de l'éradication de la corruption. Ce mouvement n'a toutefois aucune mesure avec celui qui a secoué l'Egypte en début d'année, et encore moins avec celui réprimé dans le sang en Syrie.
Libellés :
contestation,
Jordanie
Boycott retour de bâton, les USA gèlent 200 millions $ d’aide aux Palestiniens
Samedi 1er octobre, le Comité des Affaires Etrangères du Congrès américain, ainsi que le Comité des Relations Etrangères du Sénat, ont gelé l’aide économique de 200 millions de dollars destinée à l’Autorité Palestinienne, « tant que le sujet de l’Etat Palestinien n’est pas réglé » a déclaré un porte parole à l’AFP.
L’aide économique est différente de l’aide sécuritaire, qui elle n’a pas été gelée, car ce serait un acte contre productif, disent les membres du Congrès, puisque ces fonds risqueraient d’affaiblir la capacité des forces de sécurité palestinienne à endiguer la violence anti-israélienne (note de JPG : c’est dire la constance de la violence anti-israélienne, venant de ces territoires abandonnés de Palestine).
Une collation, composée d’élus Démocrates et de Républicains conservateurs, tous membres du Congrès, et mécontents du dépôt, par Mahmoud Abbas, d’une demande de reconnaissance d’un Etat de Palestine auprès de l’ONU, est à l’origine de la décision de geler l’aide économique aux Palestinien, qui a été entérinée par le Congrès, à majorité républicaine, et le Sénat, démocrate.
Gary Ackerman, démocrate, membre du Sous-comité aux Affaires du Moyen Orient, et membre du Congrès américain, a commenté leur décision avec des mots résolument islamophobes : « nous pensons avec force que les gens doivent vivre avec les conséquences de leurs actes », et « si (les Palestiniens) comptent remettre leur futur entre les mains de l’ONU pour créer leur Etat, peut être que c’est des mains de ces mêmes amis qu’ils devraient chercher à obtenir leur aide (financière) ».
Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr
Inscription à :
Articles (Atom)