Pour des histoires d’indivision, d’argent de poche, de pensions alimentaires, de prise en charge des enfants, de licences de voiture ou encore de parcelles de terrain, la progéniture recourt à un rare acharnement causant, souvent, des parricides. La violence contre ascendants devient un fléau majeur dans la société algérienne. On a la nette impression que les enfants ne reculent devant rien au point de commettre des crimes, sinon des coups et blessures volontaires au moyen d’armes blanches, des insultes et des injures, constituant, du coup, une forme extrême de violence. Généralement, ce sont les personnes les plus vulnérables ou ignorant les termes de la loi qui se font tabasser par leurs enfants dont les personnes dépassant les 65 et 70 ans. Y compris les femmes mariées, elles se mêlent de la vie des parents pour “grignoter” des choses matérielles, à défaut créer un climat d’insécurité familial poussant leurs enfants jusqu’à réclamer des biens. En nette augmentation d’année en année, la violence contre des ascendants, relève la Gendarmerie nationale, “est une réalité amère confirmée par les faits et les chiffres”. Ainsi, durant les trois premiers mois de l’année 2012, pas moins de 113 affaires ont été traitées ayant abouti à l'arrestation de 96 personnes, dont 3 femmes.
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dimanche 6 mai 2012
La violence envers les parents augmente en Algérie
La Liberté Algérie
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