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samedi 20 mai 2017
31 écoles publiques Palestiniennes portent les noms de terroristes et de collaborateurs nazis
mardi 16 mai 2017
Signe de paix? Abbas fait élire maire d'Hébron un assassin, tueur de juifs.
Tayseer Abu Sneineh a été choisi par le Fatah, le parti du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, pour diriger la liste du parti à Hébron. Même si le parti n’a remporté que sept des quinze sièges de la plus grande ville de Cisjordanie, selon les résultats officiels, Abu Sneineh pourra diriger le conseil municipal.
Abu Sneineh en 80 et aujourd'hui |
Abu Sneineh est l’un des quatre terroristes palestiniens qui, le 2 mai 1980, ont attaqué un groupe d’Israéliens et de Juifs dans une allée de Hébron, tirant et jetant des grenades contre eux.
Ils ont tué les ressortissants américains Tzvi Glatt et Eli HaZeev, le Canadien Shmuel Marmelstein et les Israéliens Hanan Krauthammer, Gershon Klein et Yaakov Zimmerman. Times of Israel
Vingt autres personnes avaient été blessées par l’attaque.
Les quatre terroristes ont tous été condamnés à des peines de perpétuité, mais ont été libérés dans le cadre d’échanges de prisonniers au cours de la décennie.
L’attaque a eu lieu le 2 mai 1980. Les élections de dimanche en Cisjordanie ont eu lieu exactement 37 ans après l’attentat selon le calendrier hébraïque, qui marquait le 17 Iyar.
lundi 15 mai 2017
Jordanie: l’autodéfense d'un Israélien est un CRIME ABOMINABLE
Un ressortissant jordanien de 57 ans a poignardé un policier israélien à Jérusalem avant d'être abattu par ce dernier qui est modérément blessé.
Le terroriste est entré en Israël avec un groupe de touristes il y a quelques jours.Bien sûr, l'AFP ne peut s’empêcher de noter dans sa dépêche reprise par la presse française que l'attaque a eu lieu dans "JÉRUSALEM-EST OCCUPÉE" et de qualifier le terroriste : "attaquant".
voici la vidéo de l'attaque terroriste :
La Jordanie a signé un traité de PAIX avec Israël ....mais voici comment réagit un pays "ami":
« Le gouvernement israélien, en tant que puissance occupante, est responsable des tirs ayant coûté la vie à un ressortissant jordanien à Jérusalem-Est occupée », a dit le porte-parole du gouvernement jordanien Mohamed al-Momani dans un communiqué.
Le gouvernement jordanien « condamne ce crime abominable et demande à Israël tous les détails sur les circonstances » de cet incident, ajoute le communiqué. Jordan Times adapté par Times of israel
dimanche 7 mai 2017
Ahmed Eid, Chirurgien , Professeur et chef de service à Jérusalem : Israël est une terre d'opportunités infinies, je lui dois tout.
Le professeur Ahmed Eid allumera une torche le jour de la fête de l’indépendance d'Israël
Israel Hayom adapté par Observatoire du moyen Orient le 6/5/2017
Il a grandi dans une famille nombreuse musulmane , c'est lui qui a effectué la première greffe de foie réussie en Israël et a donné une nouvelle vie à plus de 200 patients • La semaine prochaine il recevra sera honoré lors de la cérémonie officielle de la fête de l’indépendance d'Israël
Le Professeur Ahmed Eid, dirige le service de chirurgie générale à l'Hôpital du Mount Scopus Hadassah en Israël. C'est lui qui a réalisé avec succès la première opération de transplantation du foie.
En 35 ans de service a Jérusalem ce sont des milliers de patients qui sont passés entre ses mains , des patients dont les histoires sont des expériences entrecroisées de la ville et de l'État. Des victimes d'attaques terroristes, des soldats, des religieux, des Arabes israéliens, des athées, des terroristes. Mais l'appel qu'il a reçu lundi dernier a réussi à lui faire lâcher le téléphone.
"En l'honneur de notre avenir commun, Juifs et Arabes - Ensemble"
C'est un médecin de l’hôpital Hadassah qui m'a appelé , " j’étais sûr que c’était un appel professionnel »" dit Eid. « Tout à coup, il a dit qu'il a entendu que je serai probablement pressenti pour allumer la flamme le jour de l'indépendance, et il a demandé mon avis. J'ai été choqué. Quand je me ressaisis, je l'ai dit que ce serait un grand honneur pour moi. Dans le choc j'ai même oublié de demander qui m'a recommandé."
« Ma femme, anesthésiste à Hadassah, s'est excitée et a demandé si elle pouvait le dire à la famille. Je lui ai dit de ne le dire à personne tant que ce n’était pas confirmé.
C'est seulement le lendemain, quand ils m'ont appelé de la part de la ministre de la Culture et du Sport Miri Regev, que j'ai réalisé que c'était vrai. Je ne digère pas encore ce fait. Je suis Ahmed, un médecin arabe en Israël, qui allume la torche le jour de l'indépendance en signe de la gratitude pour mon travail ».
Les collègues qui travaillent à ses côtés, ainsi que les patients, ont été moins surpris par le choix. Eid est un exemple de coexistence, de professionnalisme et de sensibilité aux patients. Bien qu'il ait construit sa carrière impressionnante de ses propres mains, il attribue son succès au système éducatif et médical, qui a reconnu son potentiel et qui l'a nourri. Sa modestie, il faut dire, n'est pas typique des médecins de sa stature.
« L'Etat est celui qui m'a fait. Point. Sans la bourse, que j'ai reçue au lycée et au collège, je ne pourrais pas être là où je suis aujourd'hui. Aucune porte ne s'est refermé sur moi, j'ai été accueilli à chaque poste que je voulais sans exigence en retour, et je n'ai jamais subi des manifestations de racisme. Grâce à la médecine j'avais remboursé l'état ».
Eid est né et a grandi dans le village Daburiya, au pied du Mont Tabor, d'une famille de dix enfants. Il a fréquenté l'école primaire dans le village et a reçu des notes élevées.
« Nous étions une famille pauvre parmi les pauvres. Sans terre, sans propriété et sans un clan, comme il est d'usage dans la majorité des familles arabo-musulmanes. Mon père Suleiman était la seule famille survivante d'Aid. Il a travaillé dans les raffineries de pétrole à Haïfa, et son départ du village nécessitait l'approbation du gouvernement militaire qui gérait à l'époque les villages arabes de Galilée. Il ne savait ni lire et écrire, et a exhorté les enfants à trouver du travail ».
A la fin de ses huit ans, Ahmed Eid s'est trouvé à la croisée des chemins. Ses parents ne pouvaient pas lui payer l'école secondaire, et il a bénéficié de bourses réservées aux étudiants d'exception issus de familles défavorisées.
Le voici lors de la cérémonie à partir de la 41 eme minute
Voici son passage extrait de la cérémonie :
« Je suis ici en l'honneur du médecin et les médecins, des infirmières et de tout le personnel de santé de Jérusalem qui consacrent leur vie à sauver des vies. »
« En l'honneur d'Israël, la terre d'opportunités infinies.
En l'honneur de la fraternité, en l'honneur du sacrifice, en honneur de notre avenir commun -. Juifs et arabes - ensemble. »
Voici le Proffesseur Ahmed Eid , de Devoria dans le Galil.
Il a vécu à Jérusalem des nombreuses années et il dirige le service de chirurgie générale de l’hôpital Adassa du mont Scopus. Le Professeur Eid est un des meilleurs chirurgiens d'Israël, c'est lui qui a effectué ici la premiere greffe réussie du foie. C'est un des fondateurs du centre national des greffes.
Dans le cadre de son travail , le Professeur Eid a sauvé la vie de centaines de patients, parmi lesquels de nombreuses victimes du terrorisme. Il soigne et il accompagne de nombreux étudiants dans les hôpitaux de la ville.
Cette longue activité médicale est représentative de l'unité spécifique à Jérusalem entre enfants de différentes ethnies et religions. Elle symbolise la responsabilité commune envers la vie. Le voici.
Prof. Ahmed Eid :
Moi Ahmed , fils de Sliman et Aïcha Eid bénie soit leur mémoire [expression juive traditionnelle après l’évocation d'un proche disparu ] , j'allume cette flamme en l'honneur de l'Etat d'Israël.
En l'honneur des médecins , femmes et hommes, des infirmières et des infirmiers. Ainsi que de tout le personnel de la santé de Jérusalem. Ils offrent leurs vies pour sauver les vies, pour la santé et la qualité de vie de tout être humain sans aucune distinction , du moment que c'est un humain.
En l'Honneur de la fraternité.
En l'honneur de du don de soi.
En l'Honneur d'Israël - Terre des opportunités infinies.
En l'honneur de l'avenir qui nous est commun à tous. Juifs et Arabes - Unis.
A la gloire de l'Etat d'Israël ! il allume la flamme.
Il est applaudi par la foule émue dont la blonde Sarah Netanyahou l'épouse du Premier Ministre et Miri Regev la ministre de la Culture.
Israel Hayom adapté par Observatoire du moyen Orient le 6/5/2017
Il a grandi dans une famille nombreuse musulmane , c'est lui qui a effectué la première greffe de foie réussie en Israël et a donné une nouvelle vie à plus de 200 patients • La semaine prochaine il recevra sera honoré lors de la cérémonie officielle de la fête de l’indépendance d'Israël
Le Professeur Ahmed Eid, dirige le service de chirurgie générale à l'Hôpital du Mount Scopus Hadassah en Israël. C'est lui qui a réalisé avec succès la première opération de transplantation du foie.
En 35 ans de service a Jérusalem ce sont des milliers de patients qui sont passés entre ses mains , des patients dont les histoires sont des expériences entrecroisées de la ville et de l'État. Des victimes d'attaques terroristes, des soldats, des religieux, des Arabes israéliens, des athées, des terroristes. Mais l'appel qu'il a reçu lundi dernier a réussi à lui faire lâcher le téléphone.
"En l'honneur de notre avenir commun, Juifs et Arabes - Ensemble"
C'est un médecin de l’hôpital Hadassah qui m'a appelé , " j’étais sûr que c’était un appel professionnel »" dit Eid. « Tout à coup, il a dit qu'il a entendu que je serai probablement pressenti pour allumer la flamme le jour de l'indépendance, et il a demandé mon avis. J'ai été choqué. Quand je me ressaisis, je l'ai dit que ce serait un grand honneur pour moi. Dans le choc j'ai même oublié de demander qui m'a recommandé."
« Ma femme, anesthésiste à Hadassah, s'est excitée et a demandé si elle pouvait le dire à la famille. Je lui ai dit de ne le dire à personne tant que ce n’était pas confirmé.
C'est seulement le lendemain, quand ils m'ont appelé de la part de la ministre de la Culture et du Sport Miri Regev, que j'ai réalisé que c'était vrai. Je ne digère pas encore ce fait. Je suis Ahmed, un médecin arabe en Israël, qui allume la torche le jour de l'indépendance en signe de la gratitude pour mon travail ».
Les collègues qui travaillent à ses côtés, ainsi que les patients, ont été moins surpris par le choix. Eid est un exemple de coexistence, de professionnalisme et de sensibilité aux patients. Bien qu'il ait construit sa carrière impressionnante de ses propres mains, il attribue son succès au système éducatif et médical, qui a reconnu son potentiel et qui l'a nourri. Sa modestie, il faut dire, n'est pas typique des médecins de sa stature.
« L'Etat est celui qui m'a fait. Point. Sans la bourse, que j'ai reçue au lycée et au collège, je ne pourrais pas être là où je suis aujourd'hui. Aucune porte ne s'est refermé sur moi, j'ai été accueilli à chaque poste que je voulais sans exigence en retour, et je n'ai jamais subi des manifestations de racisme. Grâce à la médecine j'avais remboursé l'état ».
Eid est né et a grandi dans le village Daburiya, au pied du Mont Tabor, d'une famille de dix enfants. Il a fréquenté l'école primaire dans le village et a reçu des notes élevées.
« Nous étions une famille pauvre parmi les pauvres. Sans terre, sans propriété et sans un clan, comme il est d'usage dans la majorité des familles arabo-musulmanes. Mon père Suleiman était la seule famille survivante d'Aid. Il a travaillé dans les raffineries de pétrole à Haïfa, et son départ du village nécessitait l'approbation du gouvernement militaire qui gérait à l'époque les villages arabes de Galilée. Il ne savait ni lire et écrire, et a exhorté les enfants à trouver du travail ».
A la fin de ses huit ans, Ahmed Eid s'est trouvé à la croisée des chemins. Ses parents ne pouvaient pas lui payer l'école secondaire, et il a bénéficié de bourses réservées aux étudiants d'exception issus de familles défavorisées.
Le voici lors de la cérémonie à partir de la 41 eme minute
Voici son passage extrait de la cérémonie :
« Je suis ici en l'honneur du médecin et les médecins, des infirmières et de tout le personnel de santé de Jérusalem qui consacrent leur vie à sauver des vies. »
« En l'honneur d'Israël, la terre d'opportunités infinies.
En l'honneur de la fraternité, en l'honneur du sacrifice, en honneur de notre avenir commun -. Juifs et arabes - ensemble. »
Présentatrice :
Voici le Proffesseur Ahmed Eid , de Devoria dans le Galil.
Il a vécu à Jérusalem des nombreuses années et il dirige le service de chirurgie générale de l’hôpital Adassa du mont Scopus. Le Professeur Eid est un des meilleurs chirurgiens d'Israël, c'est lui qui a effectué ici la premiere greffe réussie du foie. C'est un des fondateurs du centre national des greffes.
Dans le cadre de son travail , le Professeur Eid a sauvé la vie de centaines de patients, parmi lesquels de nombreuses victimes du terrorisme. Il soigne et il accompagne de nombreux étudiants dans les hôpitaux de la ville.
Cette longue activité médicale est représentative de l'unité spécifique à Jérusalem entre enfants de différentes ethnies et religions. Elle symbolise la responsabilité commune envers la vie. Le voici.
Prof. Ahmed Eid :
Moi Ahmed , fils de Sliman et Aïcha Eid bénie soit leur mémoire [expression juive traditionnelle après l’évocation d'un proche disparu ] , j'allume cette flamme en l'honneur de l'Etat d'Israël.
En l'honneur des médecins , femmes et hommes, des infirmières et des infirmiers. Ainsi que de tout le personnel de la santé de Jérusalem. Ils offrent leurs vies pour sauver les vies, pour la santé et la qualité de vie de tout être humain sans aucune distinction , du moment que c'est un humain.
En l'Honneur de la fraternité.
En l'honneur de du don de soi.
En l'Honneur d'Israël - Terre des opportunités infinies.
En l'honneur de l'avenir qui nous est commun à tous. Juifs et Arabes - Unis.
A la gloire de l'Etat d'Israël ! il allume la flamme.
Il est applaudi par la foule émue dont la blonde Sarah Netanyahou l'épouse du Premier Ministre et Miri Regev la ministre de la Culture.
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