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lundi 21 janvier 2013

Mahmoud Abbas: le sionistes étaient liés aux nazis


Palestine Press News Agency présente à l'avance les points importants de l'interview de Mahmoud Abbas qui sera diffusée vendredi sur la chaîne libanaise Al Meyadeen. Une des phrases qui a attiré l'attention du blogueur anonyme Elder of Ziyon était : "Je mets quiconque au défi de nier la relation entre le sionisme et le nazisme avant la Seconde Guerre mondiale."

Ne soyons pas surpris, Abbas est un négationniste depuis bien longtemps. Son doctorat est basé sur une thèse négationniste [il y cite entre autres Faurisson] soutenue en URSS en 1980 et publié en livre en arabe en 1984. «Quand j'ai écrit` The Other Side ", nous étions en guerre avec Israël", a déclaré M. Abbas au journal israélien Maariv en 2003.  «Aujourd'hui, je n'aurais pas fait de telles remarques."

Bin,  il n'est pas en guerre et il les réitère!

CONCLUSION: c'est un menteur, il est impossible de lui faire confiance. C'est un négationniste de la pire espèce , s'il avait été européen il aurait été ostracisé avec d'autres antisémites comme il se doit. Mais comme il est arabe, mieux: palestinien, on ferme les yeux et on prétend qu'il est modéré et fréquentable.

Voici des extraits d'un article de l'observatoire des religions (basé lui même sur MEMRI) sur la thèse soutenue par Mahmoud Abbas à l'Université Lubumba de Moscou en 1980:

Dans un essai universitaire daté de 1980, « L’envers du décor : les relations secrètes entre le nazisme et le sionisme » Mahmoud Abbas, dit Abu Mazen, discute des liens secrets qui existaient entre les nazis et la direction du mouvement sioniste ".  
Deux ans plus tard, une étude réalisée par Abu Mazen, fondée sur cet essai préliminaire présenté au Collège oriental de Moscou, a été publiée en arabe par les éditeurs Dar Ibn Rushd à Amman, en Jordanie. Dans ces deux ouvrages, l’actuel président de l’Autorité palestinienne prend des positions révisionnistes
Dans l’introduction de son analyse de 1984, Abu Mazen évoque certains révisionnistes connus, émet des doutes quant à l’utilisation des chambres à gaz pour l’extermination des Juifs, affirmant que le nombre de Juifs tués au cours de l’holocauste pourrait être " inférieur à un million ". Abu Mazen prétend qu’il était de l’intérêt du mouvement sioniste de convaincre l’opinion publique du grand nombre de victimes, afin de s’octroyer " des gains plus importants " après la guerre, quand le temps serait venu de se partager le butin. 
L’intention d’Abu Mazen est ici de remettre en cause la légitimité du mouvement sioniste en prouvant qu’au cours de cette période critique de l’histoire du peuple juif - la montée du nazisme et la deuxième guerre mondiale -, rien ne pouvait arrêter les leaders sionistes dans leur course à la création d’un Etat juif. Il écrit : " La vérité [sur les crimes nazis] comporte un autre aspect " que l’Occident a choisi d’ignorer, occultant le rôle d’un de ses " principaux partenaires dans le crime ", c’est-à-dire le mouvement sioniste. L’étude d’Abu Mazen indique l’existence d’intérêts communs aux mouvements sionistes et nazis, et une similitude fondamentale entre leurs théories respectives. 
De la similitude entre nazisme et théorie sioniste " En discutant des idées sionistes officielles, épousées avec une profonde conviction et une grande foi par les partisans du mouvement, on découvre que ces derniers croient en la pureté de la race juive, tout comme Hitler croyait en la pureté de la race aryenne, et que ce mouvement cherche une solution définitive au " problème juif " d’Europe, via l’immigration en Palestine. C’est aussi ce qu’Hitler voulait, et c’est ce qu’il a accompli.

Le mouvement sioniste soutient que l’antisémitisme est éternel et inhérent au sang des gentils, qu’il n’est pas possible d’y mettre fin ou de s’en écarter. Il est donc le principal moteur de l’immigration sioniste. Il s’ensuit que si l’antisémitisme n’existait pas, il faudrait l’inventer, et que si sa flamme s’éteignait, il faudrait l’attiser.
Abbas prétend que la conférence du mouvement sioniste de Baltimore (en 1942)  peut être "considérée comme l’une des causes principales de cette fin" [la Shoah

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