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samedi 4 décembre 2010

Pendant que l'aide internationale, y compris des pays arabes, afflue, la liesse populaire se manifeste chez les palestiniens

Dans les villages arabes du Goush Etzion et en Judée-Samarie, l’annonce de la catastrophe nationale de l’incendie dans le Carmel inspire une liesse non dissimulée. Un peu partout, on a disposé des haut-parleurs géants à l’extérieur pour y faire entendre de la musique à tue-tête qui parvient jusque dans  les implantations juives. De même, un peu partout, des feux d’artifice observés depuis les localités juives.
Les Arabes palestiniens exultent depuis que l’annonce de l’incendie le plus terrible de l’histoire d’Israël a été rendu publique. Parmi les victimes de cet incendie, il y a également de nombreux non-Juifs, des Druzes des localités du Carmel.
Ce phénomène n’est point nouveau. Par exemple, lors de l’annonce de la capture de Gilad Shalit ou lors des lancement de missiles du Hezbollah sur Israël, c’était la même liesse délurée qu’on pouvait observer dans les colonies arabes en Israël. Déjà, lors de la première guerre du Golfe, en 1991, les tirs de scud sur Tel-Aviv avaient suscité de telles manifestations de joie sur les toits des demeures, Saddam Hussein étant alors perçu comme le champion de la cause arabe. De sorte que ces demonstrations de joie lorsque des malheurs frappent des Juifs sont une constante culturelle et non pas un phénomène passager conjoncturel.

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